Mais, depuis un certain temps, l’on constate la promotion de ses produits aphrodisiaques sur des chaînes de télévision nationale mais aussi des sites en ligne. Des vendeurs d’aphrodisiaques envahissent des médias et crée même leurs propres sites, pour mieux vendre et attirer la clientèle. Il est facile de se procurer des produits aphrodisiaques, que ça soit pharmaceutique ou non.
Des Sénégalais avertis se posent des questions sur la circulation de ces produits dont certains proviennent de la sous-région. Comment parviennent-ils à passer les mailles des filets des corps de contrôle et de sécurité pour inonder des marchés ?
Pourtant les réglementations qui sont du ressort de plusieurs ministères, dont ceux de la Santé et du Commerce sont claires. Parce que s’agissant des produits utilisés ou consommés par les êtres humains et les animaux, il y a un contrôle de qualité qui s’exerce et un visa délivré, pour attester de leur bonne qualité au moment de leur entrée dans le territoire national.
Aussi se demande-t-on qu’attendent les régulateurs des médias pour stopper la promotion de ces produits néfastes et très dangereux pour la santé. Ces produits qui méritent vraiment une étude beaucoup plus approfondie. L’on se souvient à l’époque, de la ruée vers «Ngora Keng» et «Mbir-mi».
Pour rappel, en 2012, sur soupçon de fraude, la Douane avait inspecté «Ngora Keng» et «Mbir-mi», deux produits conçus, selon la publicité des médias du Groupe Excaf Communication à l’époque, pour éveiller la libido en berne.
Et, en mai 2012, le Conseil national de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA), avait envoyé une mise en demeure au groupe pour qu’il «arrête ces dérives». Aussi une enquête des services de Mohammadou Makhtar Cissé, alors directeur général de la Douane, avait permis d’édifier les populations sur l’origine et les composants réels de ces produits importés. Rapporte Vipeoples .
Des Sénégalais avertis se posent des questions sur la circulation de ces produits dont certains proviennent de la sous-région. Comment parviennent-ils à passer les mailles des filets des corps de contrôle et de sécurité pour inonder des marchés ?
Pourtant les réglementations qui sont du ressort de plusieurs ministères, dont ceux de la Santé et du Commerce sont claires. Parce que s’agissant des produits utilisés ou consommés par les êtres humains et les animaux, il y a un contrôle de qualité qui s’exerce et un visa délivré, pour attester de leur bonne qualité au moment de leur entrée dans le territoire national.
Aussi se demande-t-on qu’attendent les régulateurs des médias pour stopper la promotion de ces produits néfastes et très dangereux pour la santé. Ces produits qui méritent vraiment une étude beaucoup plus approfondie. L’on se souvient à l’époque, de la ruée vers «Ngora Keng» et «Mbir-mi».
Pour rappel, en 2012, sur soupçon de fraude, la Douane avait inspecté «Ngora Keng» et «Mbir-mi», deux produits conçus, selon la publicité des médias du Groupe Excaf Communication à l’époque, pour éveiller la libido en berne.
Et, en mai 2012, le Conseil national de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA), avait envoyé une mise en demeure au groupe pour qu’il «arrête ces dérives». Aussi une enquête des services de Mohammadou Makhtar Cissé, alors directeur général de la Douane, avait permis d’édifier les populations sur l’origine et les composants réels de ces produits importés. Rapporte Vipeoples .