La méga coalition ITCTS-And Gueusseum a entamé son 10e plan d'action. Il s'agit d'une grève totale de 96 heures, les 7, 8, 9 et 10 février 2023, accompagnée d’assemblées générales de remobilisation dans des départements et de la restitution de la logistique vaccinale et des intrants du PEV, entre autres actions prévues. L’État fait le mort. Alors que les syndicalistes se radicalisent de jour en jour.
‘’En réponse à l'inertie du gouvernement dans l'harmonisation des augmentations de salaire et du paiement de l'indemnité de logement aux personnels administratifs et techniques, ainsi qu'aux agents des collectivités territoriales et aussi, face aux affectations démagogiques et arbitraires de la ministre de la Santé et de l'Action sociale aux abois et aux maires employeurs défaillants, la méga coalition ITCTS-And Gueusseum a décidé d'entamer son 10e plan d'action’’, renseigne une note parvenue à ‘’EnQuête’’.
Les syndicalistes décrètent, à compter de ce mardi, une grève totale de 96 heures, les 7, 8, 9 et 10 février, suivi des assemblées générales de remobilisation dans les départements de Rufisque le 7 février à 10 h, de Guédiawaye le 8 février à 10 h, de Pikine le 9 février à 15 h et de Dakar le 10 février à 10 h.
Pour intensifier leur lutte, la méga coalition ITCTS-And Gueusseum va également décréter une grève totale de 72 heures, les mercredi 15, jeudi 16 et vendredi 17 février prochains.
Ce n’est pas tout. La méga coalition compte tenir une journée spéciale de restitution de la logistique vaccinale et des intrants du Programme élargi de vaccination (PEV), le mardi 14 février 2023.
Dans la même veine, une marche nationale est prévue le jeudi 16 février à Kaffrine, renseigne le communiqué de ladite méga coalition.
Après tous ces jours de mouvement d'humeur, elle compte faire une évaluation de son 10e plan d'action le samedi 18 février 2023.
Toutefois, la méga coalition ITCTS-And Gueusseum va poursuivre le boycott de tous les programmes de santé, des formations, supervisions et réunions de coordination et la rétention de l'information sanitaire et sociale.
Les mises en garde contre les médecins-chefs de district…
Dans la même veine, la méga coalition ITCTS-And Gueusseum "met en garde certains médecins-chefs de district (MCD) et directeurs d'EPS briseurs de grève et avertit aussi, certains supérieurs (SSP ou SR) bénéficiaires de tous les acquis qui, par une démarche opportuniste, font dans la triche et l'ingratitude, en torpillant cette noble lutte de travailleurs pour l'équité et la justice dans le traitement salarial des personnels, toutes catégories socioprofessionnelles confondues".
Par ailleurs, les grévistes réclament toujours les 104 millions FCfa de primes Covid-19 dus et les 20 milliards FCfa remboursés par l'État pour la Couverture maladie universelle dans les accords et s'insurge contre les manœuvres dilatoires de l'Anacmu, ‘’tendant à se soustraire à ses obligations et fonctions d'acheteur de soins et de payeur de créances, qui ont fini de cannibaliser toutes les structures médico-sanitaires’’.
In fine, la méga coalition invite tous les camarades à davantage de vigilance, de discipline, d’engagement et de persévérance, pour la satisfaction des doléances de leurs "camarades injustement discriminés par le gouvernement, pour simplement diviser les travailleurs’’.
‘’En réponse à l'inertie du gouvernement dans l'harmonisation des augmentations de salaire et du paiement de l'indemnité de logement aux personnels administratifs et techniques, ainsi qu'aux agents des collectivités territoriales et aussi, face aux affectations démagogiques et arbitraires de la ministre de la Santé et de l'Action sociale aux abois et aux maires employeurs défaillants, la méga coalition ITCTS-And Gueusseum a décidé d'entamer son 10e plan d'action’’, renseigne une note parvenue à ‘’EnQuête’’.
Les syndicalistes décrètent, à compter de ce mardi, une grève totale de 96 heures, les 7, 8, 9 et 10 février, suivi des assemblées générales de remobilisation dans les départements de Rufisque le 7 février à 10 h, de Guédiawaye le 8 février à 10 h, de Pikine le 9 février à 15 h et de Dakar le 10 février à 10 h.
Pour intensifier leur lutte, la méga coalition ITCTS-And Gueusseum va également décréter une grève totale de 72 heures, les mercredi 15, jeudi 16 et vendredi 17 février prochains.
Ce n’est pas tout. La méga coalition compte tenir une journée spéciale de restitution de la logistique vaccinale et des intrants du Programme élargi de vaccination (PEV), le mardi 14 février 2023.
Dans la même veine, une marche nationale est prévue le jeudi 16 février à Kaffrine, renseigne le communiqué de ladite méga coalition.
Après tous ces jours de mouvement d'humeur, elle compte faire une évaluation de son 10e plan d'action le samedi 18 février 2023.
Toutefois, la méga coalition ITCTS-And Gueusseum va poursuivre le boycott de tous les programmes de santé, des formations, supervisions et réunions de coordination et la rétention de l'information sanitaire et sociale.
Les mises en garde contre les médecins-chefs de district…
Dans la même veine, la méga coalition ITCTS-And Gueusseum "met en garde certains médecins-chefs de district (MCD) et directeurs d'EPS briseurs de grève et avertit aussi, certains supérieurs (SSP ou SR) bénéficiaires de tous les acquis qui, par une démarche opportuniste, font dans la triche et l'ingratitude, en torpillant cette noble lutte de travailleurs pour l'équité et la justice dans le traitement salarial des personnels, toutes catégories socioprofessionnelles confondues".
Par ailleurs, les grévistes réclament toujours les 104 millions FCfa de primes Covid-19 dus et les 20 milliards FCfa remboursés par l'État pour la Couverture maladie universelle dans les accords et s'insurge contre les manœuvres dilatoires de l'Anacmu, ‘’tendant à se soustraire à ses obligations et fonctions d'acheteur de soins et de payeur de créances, qui ont fini de cannibaliser toutes les structures médico-sanitaires’’.
In fine, la méga coalition invite tous les camarades à davantage de vigilance, de discipline, d’engagement et de persévérance, pour la satisfaction des doléances de leurs "camarades injustement discriminés par le gouvernement, pour simplement diviser les travailleurs’’.