Hier, lundi, nous rapporte-t-on, les camions de transport de marchandises et les taxis brousse circulaient librement entre la Guinée et le Mali via les villages frontaliers tels que Siradjouba, Balandougou et Gnaouléni.
Une libre circulation des personnes et des biens entre les deux pays comme si de rien n’était alors que la Cedeao avait exigé la fermeture « immédiate » des frontières entre le Mali et les pays membres de l’institution communautaire, le gel des actifs maliens au sein de la Banque Centrale des États d’Afrique de l’Ouest, la suspension des transactions sauf pour les produits de première nécessité et pharmaceutiques, la coupure des aides financières et le rappel des ambassadeurs des pays membres au Mali.
Pour « Le Témoin », la Cedeao veut une chose et son contraire. Comment peut-on sanctionner ou expulser la Guinée de toutes les instances de la Cedeao et vouloir que le même Etat guinéen applique des mesures d’embargo contre le Mali voisin ? Peut-être, les ambassadeurs, les ministres et autres députés sénégalais grands « constitutionnalistes » du dimanche, apporteront une réponse diplomatique, politique et juridique à cette question du « Le Témoin ».
Une libre circulation des personnes et des biens entre les deux pays comme si de rien n’était alors que la Cedeao avait exigé la fermeture « immédiate » des frontières entre le Mali et les pays membres de l’institution communautaire, le gel des actifs maliens au sein de la Banque Centrale des États d’Afrique de l’Ouest, la suspension des transactions sauf pour les produits de première nécessité et pharmaceutiques, la coupure des aides financières et le rappel des ambassadeurs des pays membres au Mali.
Pour « Le Témoin », la Cedeao veut une chose et son contraire. Comment peut-on sanctionner ou expulser la Guinée de toutes les instances de la Cedeao et vouloir que le même Etat guinéen applique des mesures d’embargo contre le Mali voisin ? Peut-être, les ambassadeurs, les ministres et autres députés sénégalais grands « constitutionnalistes » du dimanche, apporteront une réponse diplomatique, politique et juridique à cette question du « Le Témoin ».