Hier, un corps sans vie a été repêché des eaux, à Sam Sam 3. Les populations lancent un Sos et réclament des zones de recasement.
Si, pour le moment, les causes du décès sont indéterminées, le corps sans vie du sinistré est source de plusieurs commentaires dans la commune de Diamagueune Sicap Mbao, rapporte Rewmi.
Selon des indiscrétions, le défunt vivait seul dans sa maison, a vu celle-ci remplie d’eau. Les sapeurs-pompiers ont acheminé le corps sans vie à l’hôpital Aristide le Dantec. Abdou Samat Diouf, le coordonnateur du mouvement « Zéro inondation », est monté au créneau. « Il faut que les autorités trouvent des sites de recasement pour les sinistrés. Les choses commencent à prendre une autre tournure. Le défunt vivait sous les eaux depuis près de 20 jours. Nous en avons recensé plus d’une centaine dans la commune », regrette-t-il. Il faut que les autorités réagissent au plus vite. Les gens vivent dans des conditions terribles.
Il faut renforcer les moyens de pompage des eaux et venir en aide aux sapeurs-pompiers. Des quartiers sont toujours prisonniers des eaux de pluie. Les populations n’en peuvent plus. A Keur Massar, le calvaire demeure. « Les gens vivent dans les eaux et depuis le déclenchement du Plan d’organisation des secours, aucune avancée n’est notée», confie Aly Bâ de l’unité 3.
A Ndiogou Diène, ce sont des volontaires qui s’activent. Selon Ma Khouredia Ndiaye, point focal dans la lutte contre les inondations, des pères de famille peinent à accéder chez eux.
Si, pour le moment, les causes du décès sont indéterminées, le corps sans vie du sinistré est source de plusieurs commentaires dans la commune de Diamagueune Sicap Mbao, rapporte Rewmi.
Selon des indiscrétions, le défunt vivait seul dans sa maison, a vu celle-ci remplie d’eau. Les sapeurs-pompiers ont acheminé le corps sans vie à l’hôpital Aristide le Dantec. Abdou Samat Diouf, le coordonnateur du mouvement « Zéro inondation », est monté au créneau. « Il faut que les autorités trouvent des sites de recasement pour les sinistrés. Les choses commencent à prendre une autre tournure. Le défunt vivait sous les eaux depuis près de 20 jours. Nous en avons recensé plus d’une centaine dans la commune », regrette-t-il. Il faut que les autorités réagissent au plus vite. Les gens vivent dans des conditions terribles.
Il faut renforcer les moyens de pompage des eaux et venir en aide aux sapeurs-pompiers. Des quartiers sont toujours prisonniers des eaux de pluie. Les populations n’en peuvent plus. A Keur Massar, le calvaire demeure. « Les gens vivent dans les eaux et depuis le déclenchement du Plan d’organisation des secours, aucune avancée n’est notée», confie Aly Bâ de l’unité 3.
A Ndiogou Diène, ce sont des volontaires qui s’activent. Selon Ma Khouredia Ndiaye, point focal dans la lutte contre les inondations, des pères de famille peinent à accéder chez eux.