Paris, un froid de canard sévit en ce jeudi 2 mars 2023. Malgré cette souffrance imposée par la rigueur du temps, les Sénégalais ont troqué leurs manteaux et autres jackets contre les boubous et pagnes traditionnels. Au parc des expositions, c’est la voix du Sénégal qui vibre. Au delà de son drapeau qui trône, ce sont surtout les sonorités sénégalaises qui attirent. Des pas de danse endiablés au son du tam-tam. Point besoin de demander. L’ambiance est à son paroxysme. Qui pour acheter des spécificités de notre pays, d’autres, en majorité des expatriés, pour renouer avec les mets sénégalais préparés soigneusement pour la circonstance.
La reine du fonio Fanta Souaré, venue de Goudiry, la reine du riz Korka Diaw, les institutions à l’image de Sodagri, la Sonacos , etc… chacun a exposé ses produits et vanté leurs mérites aux passants. Un peu plus loin dans une salle archicomble, loin des stands, se tiennent les panels. Ici le thermomètre est à 40 degrés, contrastant avec le froid de l’extérieur. Le ministre Aly Ngouille Ndiaye, accompagné de ses collaborateurs, a exposé les ambitions du Sénégal pour assurer sa sécurité alimentaire devant le regard de son collègue Aly Saleh Diop.
Les orateurs se suivent, mais le diagnostic est le même : Des efforts à faire. Toutefois, il faut reconnaître que l’optimisme est à fleur de peau, si l’on se fie aux nombreux instruments étatiques (Der, Fongip, la banque agricole). Pour le secteur de l’élevage notamment la viande, le lait et les œufs où le Sénégal exportait plus de 60% , les objectifs sont à portée de main, d’après le ministre Aly Ngouille Ndiaye. A l’horizon 2028, si le rythme de mécanisation se poursuit, tout comme la modernisation du secteur agricole, de la pêche et de l’élevage, l’autosuffisance alimentaire sera atteinte. Au pavillon du Sénégal, on parle aussi business. Une belle opportunité d’affaire pour des rencontres «be to be» pour convaincre les nombreux investisseurs qui affluent. Élus et officiels sont venus en masse pour donner un cachet populaire à la journée dédiée au Sénégal.
L'As
La reine du fonio Fanta Souaré, venue de Goudiry, la reine du riz Korka Diaw, les institutions à l’image de Sodagri, la Sonacos , etc… chacun a exposé ses produits et vanté leurs mérites aux passants. Un peu plus loin dans une salle archicomble, loin des stands, se tiennent les panels. Ici le thermomètre est à 40 degrés, contrastant avec le froid de l’extérieur. Le ministre Aly Ngouille Ndiaye, accompagné de ses collaborateurs, a exposé les ambitions du Sénégal pour assurer sa sécurité alimentaire devant le regard de son collègue Aly Saleh Diop.
Les orateurs se suivent, mais le diagnostic est le même : Des efforts à faire. Toutefois, il faut reconnaître que l’optimisme est à fleur de peau, si l’on se fie aux nombreux instruments étatiques (Der, Fongip, la banque agricole). Pour le secteur de l’élevage notamment la viande, le lait et les œufs où le Sénégal exportait plus de 60% , les objectifs sont à portée de main, d’après le ministre Aly Ngouille Ndiaye. A l’horizon 2028, si le rythme de mécanisation se poursuit, tout comme la modernisation du secteur agricole, de la pêche et de l’élevage, l’autosuffisance alimentaire sera atteinte. Au pavillon du Sénégal, on parle aussi business. Une belle opportunité d’affaire pour des rencontres «be to be» pour convaincre les nombreux investisseurs qui affluent. Élus et officiels sont venus en masse pour donner un cachet populaire à la journée dédiée au Sénégal.
L'As