L’ouverture des classes, prévue ce jeudi 6 octobre 2022, risque de ne pas avoir lieu au niveau de l’école élémentaire Saer Sèye du quartier Léona, dans la capitale du Nord. En effet, explique Sudquotidien, l’établissement scolaire est dans un état de dégradation très avancé ; ce qui a fini de plonger les parents d’élèves et surtout les responsables du Comité de Gestion de cette École (CGE) dans le désarroi. Ces derniers déclarent ne pas être prêts à envoyer les élèves dans cette école, cette année, vu que les conditions d’études ne sont pas réunies. «Cette école est vraiment vétuste et tous les bâtiments menacent ruine et présentent un danger réel et imminent. Les tuiles et les murs sont tombés. Les salles de classe sont toujours envahies par les eaux de pluie. Depuis 1957, cette école n’a jamais fait l’objet de rénovation. Donc pour moi, en tant que président de CGE, je dis qu’il n’est pas question qu’on amène des élèves dans cette école », s’est voulu catégorique Assane Sow, président du CGE de l’école élémentaire Saer Sèye.
Son inquiétude est également partagée par le tout nouveau directeur de cette école qui a pris service, le samedi 1er octobre dernier. «Quand je suis arrivé, j’ai trouvé vraiment une école complètement délabrée, avec des salles de classe qui risquent de s’effondrer et des toitures qui peuvent tomber à tout moment. Donc, nous sommes dans une situation très délicate. J’ai saisi les autorités pour le traitement de cette situation», a-t-il laissé entendre.
Aujourd’hui, pour le président du CGE, une seule solution s’impose, c’est de raser complètement les bâtiments de cette école et les reconstruire.
Son inquiétude est également partagée par le tout nouveau directeur de cette école qui a pris service, le samedi 1er octobre dernier. «Quand je suis arrivé, j’ai trouvé vraiment une école complètement délabrée, avec des salles de classe qui risquent de s’effondrer et des toitures qui peuvent tomber à tout moment. Donc, nous sommes dans une situation très délicate. J’ai saisi les autorités pour le traitement de cette situation», a-t-il laissé entendre.
Aujourd’hui, pour le président du CGE, une seule solution s’impose, c’est de raser complètement les bâtiments de cette école et les reconstruire.