Les libéraux de Saint Louis dans une déclaration rendue publique, ont appelé les organisations des droits de l’homme, tous les sénégalais et les sénégalaises épris de paix et de justice, à se lever pour mettre tout en œuvre et se mobiliser au nom de l’état de droit pour faire entendre raison à l’État du Sénégal et lui faire exécuter ses obligations internationales. « Le 22 février 2013 déjà , la Cour de justice de la CEDEAO rendait un arrêt indiquant les trois éléments suivants : le procureur spécial de la CREI n’a pas respecté la présomption d’innocence de Karim WADE ; le privilège de juridiction attribué aux anciens ministres qui relèvent de la Haute Cour de Justice n’est pas respecté ; l’interdiction de sortir du territoire national qu’on lui a imposée n’a aucune base légale » rappellent t-ils.
Malgré cela, Macky SALL et son régime ont refusé de se conformer à la légalité.
Le 20 avril 2015, le Groupe de Travail sur la détention arbitraire constitué au sein du Conseil des Droits de l'Homme des Nations Unies, déclare que la détention du prisonnier politique Karim Wade est arbitraire.
Il a ainsi jugé que la détention de Karim Wade entrait dans la catégorie des privations de liberté arbitraires (absence de toute base légale susceptible de justifier la détention par le deuxième mandat de dépôt).
Le Groupe de Travail a également estimé que Karim Wade a été victime de violations du droit au procès équitable « d’une gravité telle qu’elles confèrent à la privation de liberté un caractère arbitraire » (catégorie III)
Des lors, les libéraux exigent la libération immédiate et sans condition du frère Karim WADE ainsi que son indemnisation intégrale.
Ils appellent ainsi les sections et les fédérations du PDS aussi bien au Sénégal qu’à l’étranger à une mobilisation continue et permanente jusqu'à la libération de leur candidat Karim WADE.
Malgré cela, Macky SALL et son régime ont refusé de se conformer à la légalité.
Le 20 avril 2015, le Groupe de Travail sur la détention arbitraire constitué au sein du Conseil des Droits de l'Homme des Nations Unies, déclare que la détention du prisonnier politique Karim Wade est arbitraire.
Il a ainsi jugé que la détention de Karim Wade entrait dans la catégorie des privations de liberté arbitraires (absence de toute base légale susceptible de justifier la détention par le deuxième mandat de dépôt).
Le Groupe de Travail a également estimé que Karim Wade a été victime de violations du droit au procès équitable « d’une gravité telle qu’elles confèrent à la privation de liberté un caractère arbitraire » (catégorie III)
Des lors, les libéraux exigent la libération immédiate et sans condition du frère Karim WADE ainsi que son indemnisation intégrale.
Ils appellent ainsi les sections et les fédérations du PDS aussi bien au Sénégal qu’à l’étranger à une mobilisation continue et permanente jusqu'à la libération de leur candidat Karim WADE.