Comme annoncé lundi dernier lors de sa visite à l’université Cheikh Anta Diop, le ministre de l’Enseignement supérieur a réaffirmé dans l’émission « Grand jury », la détermination de l’État à remettre de l’ordre dans les campus. À cet effet, des instructions ont été données à « chaque université, de réunir son Conseil académique pour voir comment très rapidement reprendre les cours ». Selon Moussa Baldé, « il n’est pas question de donner la victoire à ces gens qui ont voulu bloquer l’université sénégalaise ».
D'après "Rewmi", les responsables des casses à l’université de Dakar seront arrêtés, même si ce sont des étudiants, a averti Moussa Baldé. Toutefois, le ministre a un doute quant à la culpabilité des étudiants. « Quand on voit la furie qui s’est emparée de l’université Cheikh Anta Diop, qui consiste à détruire des amphithéâtres, à détruire des bureaux de professeurs, à détruire la direction du Coud, des restaurants, on a du mal à imaginer qu’un étudiant ait fait ça », a-t-il affirmé.
« Probablement, au début, c’était une manifestation d’étudiants. Mais sur les réseaux sociaux, à partir de 10 h, j’ai vu des appels sur toutes les plateformes, qui demandaient de rejoindre l’Ucad. À un certain moment, il y avait une foule à l’université. Nous pensons qu’il n’y avait pas que des étudiants », a-t-il poursuivi. Pour rappel, lors des dernières manifestations qui ont secoué le pays, l’université Cheikh Anta Diop a été littéralement détruite. Les manifestants ont saccagé bus, amphithéâtres, restaurants et bureaux. L’administration de l’Ucad avait d’ailleurs annoncé l’ouverture d’enquêtes.
D'après "Rewmi", les responsables des casses à l’université de Dakar seront arrêtés, même si ce sont des étudiants, a averti Moussa Baldé. Toutefois, le ministre a un doute quant à la culpabilité des étudiants. « Quand on voit la furie qui s’est emparée de l’université Cheikh Anta Diop, qui consiste à détruire des amphithéâtres, à détruire des bureaux de professeurs, à détruire la direction du Coud, des restaurants, on a du mal à imaginer qu’un étudiant ait fait ça », a-t-il affirmé.
« Probablement, au début, c’était une manifestation d’étudiants. Mais sur les réseaux sociaux, à partir de 10 h, j’ai vu des appels sur toutes les plateformes, qui demandaient de rejoindre l’Ucad. À un certain moment, il y avait une foule à l’université. Nous pensons qu’il n’y avait pas que des étudiants », a-t-il poursuivi. Pour rappel, lors des dernières manifestations qui ont secoué le pays, l’université Cheikh Anta Diop a été littéralement détruite. Les manifestants ont saccagé bus, amphithéâtres, restaurants et bureaux. L’administration de l’Ucad avait d’ailleurs annoncé l’ouverture d’enquêtes.