Adokiye, 23 ans, a expliqué à un journal local: « Il est 23 heures et vous savez à quoi je pense? A ces petites filles, l’endroit où elles sont et ce qui pourrait leur arriver. C’est injuste. Elles sont trop jeunes. Je voudrais pouvoir m’offrir comme monnaie d’échange. »
Ambassadrice de la paix pour les Nations Unies, la jeune femme s’énerve: « Elles ont entre 12 et 15 ans pour l’amour du Christ. Je suis plus âgée et plus expérimentée. Même si dix à douze hommes doivent me prendre chaque soir, je ne m’inquiète pas. Mais qu’ils relâchent ces jeunes filles et les laissent retrouver leurs parents. »
Le monde entier, anonymes et stars, se mobilisent depuis des semaines pour inciter les ravisseurs à relâcher les écolières avec la campagne #BringBackOurGirls. Sans succès jusqu’à présent.
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