Les chantages à la sextape sont devenus un vrai fléau. Certains délinquants sexuels utilisent ces vidéos pour abuser de leurs victimes.
Marié et père de plusieurs enfants, M. Dieng faisait chanter la dame C. Ndoye avec une sextape pour l'avoir dans son lit.
N'ayant pas réussi son coup, rapporte Rewmi Quotidien dans sa livraison de ce mercredi, il s'était permis de diffuser la vidéo intime de son ex-copine sur les réseaux sociaux.
"C'est après notre rupture qu'il m'a envoyé une vidéo de notre ébat sexuel qu'il a filmée à mon insu. Mais, je lui avais demandé de la supprimer, car je ne voulais pas que mon enfant voit les images. Quelques temps après, il m'intime l'ordre de la rejoindre chez lui. Lorsque j'ai refusé, il a envoyé la vidéo à mes proches", fustige la plaignante à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar.
À l'en croire, une autre personne non identifiée a réclamé de l'argent à son amie, N. Sarr, contre la non-diffusion de la vidéo.
Toutefois, le prévenu a reconnu partiellement les faits.
"Après notre idylle, on entretenait une relation amicale. Elle était la seule personne à qui j'ai envoyé la vidéo parce qu'elle était toute nue", confie le jeune homme de 35 ans domicilié à Rufisque.
Alors que devant les enquêteurs, il a avoué avoir partagé les images avec son copain, M. Sèye.
Pour le maître des poursuites, les faits ont entraîné des dommages incommensurables.
"Il y a lieu de prendre des sanctions idoines", a-t-il martelé, avant de requérir deux ans d'emprisonnement dont, six mois ferme contre le prévenu.
La défense a sollicité une application bienveillante de la loi.
Au final, le juge infligé au prévenu une peine de deux ans, dont un mois ferme, pour collecte illicite de données à caractère personnel et diffusion d'images contraires aux bonnes mœurs.
closevolume_off
Marié et père de plusieurs enfants, M. Dieng faisait chanter la dame C. Ndoye avec une sextape pour l'avoir dans son lit.
N'ayant pas réussi son coup, rapporte Rewmi Quotidien dans sa livraison de ce mercredi, il s'était permis de diffuser la vidéo intime de son ex-copine sur les réseaux sociaux.
"C'est après notre rupture qu'il m'a envoyé une vidéo de notre ébat sexuel qu'il a filmée à mon insu. Mais, je lui avais demandé de la supprimer, car je ne voulais pas que mon enfant voit les images. Quelques temps après, il m'intime l'ordre de la rejoindre chez lui. Lorsque j'ai refusé, il a envoyé la vidéo à mes proches", fustige la plaignante à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar.
À l'en croire, une autre personne non identifiée a réclamé de l'argent à son amie, N. Sarr, contre la non-diffusion de la vidéo.
Toutefois, le prévenu a reconnu partiellement les faits.
"Après notre idylle, on entretenait une relation amicale. Elle était la seule personne à qui j'ai envoyé la vidéo parce qu'elle était toute nue", confie le jeune homme de 35 ans domicilié à Rufisque.
Alors que devant les enquêteurs, il a avoué avoir partagé les images avec son copain, M. Sèye.
Pour le maître des poursuites, les faits ont entraîné des dommages incommensurables.
"Il y a lieu de prendre des sanctions idoines", a-t-il martelé, avant de requérir deux ans d'emprisonnement dont, six mois ferme contre le prévenu.
La défense a sollicité une application bienveillante de la loi.
Au final, le juge infligé au prévenu une peine de deux ans, dont un mois ferme, pour collecte illicite de données à caractère personnel et diffusion d'images contraires aux bonnes mœurs.
closevolume_off