Il ressort d’une conférence tenue hier à Dakar que l’Etat sénégalais « paie presque 20 milliards de francs Cfa pour l’éclairage chaque année et qu’une étude révèle la possibilité d’aller à des réductions de 30% à 40% ». Cela, grâce à des partenariats comme celui avec l’entreprise Signify N.V ex Philips Lighting N.V, initiatrice de la conférence.
L’essor de l’éclairage « performant » et « durable » reste une préoccupation majeure pour les autorités sénégalaises et leurs partenaires. « Le Sénégal a un éclairage classique alimenté par le réseau de la Senelec et les Collectivités n’ont pas assez de moyens pour passer au solaire », dit le chef de la division Projet maîtrise de l’énergie au sein de l’Agence pour l’économie et la maîtrise de l’énergie (Aeme).
Mais, Papa Demba Diouf indique que l’utilisation des lampes LED peut aider ces collectivités à réduire leurs dépenses en matière d’éclairage public.
Il a magnifié le déploiement de Signify au Sénégal car, dit-il le « pays a besoin des nouvelles technologies en matière d’énergies renouvelables comme le solaire ».
Ce besoin est surtout présent dans tout qui est éclairage, confie Papa Demba Diouf qui ajoute qu’« on a besoin d’éclairage efficace dans nos institutions, nos installations domestiques et publiques avec des équipements qui sont conformes aux normes ».
Aujourd’hui, poursuit-il, le Sénégal paie chaque année presque 20 milliards de francs Cfa pour l’éclairage public. C’est pourquoi, explique-t-il, les collaborations avec des structures comme Signify peuvent aider à réduire ces coûts. Surtout que, selon lui, sur la base d’études menées, il ressort qu’on peut aller à des réductions de 30 à 40%.
Au Senegal, Signify se donne pour mission d’accompagner le pays dans sa dynamique d’orientation vers l’économie d’énergie. « Si vous parlez de consommation pure, la différence entre une ampoule conventionnelle et une ampoule Led c’est 80% », dit Ibrahim Thiam.
Celui qui a parlé au nom de Signify N.V, explique : « Vous enlevez une ampoule conventionnelle et vous mettez une ampoule Led, vous faites une économie de 80% ».
En terme d’emplois, il souligne qu’ils sont des fabricants et que « toutes les mises en œuvre se font nécessairement avec un acteur local ». A chaque fois que l’on fera appel à un acteur local, soutient-il, il faudra effectivement un transfert de savoir-faire, dans l’entretien, la maintenance etc.
Ce transfert, dit-il, passe par un partenariat « que l’on est en train de créer avec la Fédération des entreprises du Sénégal dans l'électricité (Feselec) ».
Bassirou MBAYE
Mais, Papa Demba Diouf indique que l’utilisation des lampes LED peut aider ces collectivités à réduire leurs dépenses en matière d’éclairage public.
Il a magnifié le déploiement de Signify au Sénégal car, dit-il le « pays a besoin des nouvelles technologies en matière d’énergies renouvelables comme le solaire ».
Ce besoin est surtout présent dans tout qui est éclairage, confie Papa Demba Diouf qui ajoute qu’« on a besoin d’éclairage efficace dans nos institutions, nos installations domestiques et publiques avec des équipements qui sont conformes aux normes ».
Aujourd’hui, poursuit-il, le Sénégal paie chaque année presque 20 milliards de francs Cfa pour l’éclairage public. C’est pourquoi, explique-t-il, les collaborations avec des structures comme Signify peuvent aider à réduire ces coûts. Surtout que, selon lui, sur la base d’études menées, il ressort qu’on peut aller à des réductions de 30 à 40%.
Au Senegal, Signify se donne pour mission d’accompagner le pays dans sa dynamique d’orientation vers l’économie d’énergie. « Si vous parlez de consommation pure, la différence entre une ampoule conventionnelle et une ampoule Led c’est 80% », dit Ibrahim Thiam.
Celui qui a parlé au nom de Signify N.V, explique : « Vous enlevez une ampoule conventionnelle et vous mettez une ampoule Led, vous faites une économie de 80% ».
En terme d’emplois, il souligne qu’ils sont des fabricants et que « toutes les mises en œuvre se font nécessairement avec un acteur local ». A chaque fois que l’on fera appel à un acteur local, soutient-il, il faudra effectivement un transfert de savoir-faire, dans l’entretien, la maintenance etc.
Ce transfert, dit-il, passe par un partenariat « que l’on est en train de créer avec la Fédération des entreprises du Sénégal dans l'électricité (Feselec) ».
Bassirou MBAYE