Alexeï Navalny est sorti de prison souriant, vêtu d'un pull et pantalon de sport sombres et avec un sac sur les épaules, selon deux photographies diffusées sur Twitter par sa porte-parole, Kira Iarmych.
L'opposant et blogueur anticorruption a immédiatement dénoncé devant des journalistes les «actes de terreur destinés à effrayer» menés par les autorités russes dans leur répression du mouvement de protestation à Moscou ces dernières semaines. «Le mouvement va continuer à grossir et ce régime va fortement regretter ce qu'il a fait», a lancé Alexeï Navalny.
Si des policiers et un fourgon étaient présents lors de la libération d'Alexeï Navalny vendredi, ces derniers ne l'ont pas arrêté de nouveau à sa sortie, comme ce fut le cas pour d'autres opposants relâchés récemment.
Arrêté le 24 juillet dernier
Navalny avait été arrêté le 24 juillet à Moscou alors qu'il sortait faire un jogging et acheter des fleurs pour l'anniversaire de sa femme, en pleine montée de la contestation due au rejet des candidatures d'opposants à des élections locales prévues pour le 8 septembre.
Il avait ensuite été condamné à 30 jours de prison pour des « enfreintes répétées aux règles d'organisation des manifestations ». Lors de son incarcération, il a été brièvement traité à l'hôpital pour ce que les médecins ont qualifié de « grave réaction allergique », tandis que l'opposant n'a pas exclu d'avoir été « empoisonné ».
(avec AFP)
Si des policiers et un fourgon étaient présents lors de la libération d'Alexeï Navalny vendredi, ces derniers ne l'ont pas arrêté de nouveau à sa sortie, comme ce fut le cas pour d'autres opposants relâchés récemment.
Arrêté le 24 juillet dernier
Navalny avait été arrêté le 24 juillet à Moscou alors qu'il sortait faire un jogging et acheter des fleurs pour l'anniversaire de sa femme, en pleine montée de la contestation due au rejet des candidatures d'opposants à des élections locales prévues pour le 8 septembre.
Il avait ensuite été condamné à 30 jours de prison pour des « enfreintes répétées aux règles d'organisation des manifestations ». Lors de son incarcération, il a été brièvement traité à l'hôpital pour ce que les médecins ont qualifié de « grave réaction allergique », tandis que l'opposant n'a pas exclu d'avoir été « empoisonné ».
(avec AFP)