Il n’y a pas de « privatisation rampante » du campus social. C’est l’assurance donnée, hier, par la Direction du Coud à la suite de ce qu’elle qualifie de « fausses informations publiées par un groupe d’étudiants ». Dénonçant des « allégations totalement mensongères », informe le Populaire, le Coud souligne qu’« à la suite de l’inauguration, le 31 juillet 2015, de 1044 lits présentement occupés, le président de la République avait promis la construction de nouveaux pavillons d’une capacité de 4000 lits. Une promesse concrétisée par le démarrage des travaux cette semaine ». Seulement, dit le Coud, « contre toute attente, un groupe d’étudiants, mus par des considérations inavouées, après avoir diffusé des informations fallacieuses qui ne relèvent que de l’intox, tente d’empêcher la réalisation de ce projet combien salutaire pour l’épanouissement social des étudiants ».
La direction du Coud révèle même que « ce groupuscule d’étudiants a pris contact avec les promoteurs immobiliers pour leur soutirer des fonds, condition sine qua non pour la poursuite des travaux. Un ultimatum de 48h leur a été donné ». Le journal de renseigner que la Direction du Coud « condamne énergiquement ce chantage qui ne fait pas honneur à la communauté estudiantine et s’érige en bouclier contre les auteurs de ces actes ». Elle a également menacé de « faire respecter le droit dans toute sa rigueur », soulignant que « ce groupuscule ne représente pas légitiment le mouvement étudiant (dont) les représentants légaux sont présents au Conseil d’Administration et sont régulièrement informés des projets du Coud ».
La direction du Coud révèle même que « ce groupuscule d’étudiants a pris contact avec les promoteurs immobiliers pour leur soutirer des fonds, condition sine qua non pour la poursuite des travaux. Un ultimatum de 48h leur a été donné ». Le journal de renseigner que la Direction du Coud « condamne énergiquement ce chantage qui ne fait pas honneur à la communauté estudiantine et s’érige en bouclier contre les auteurs de ces actes ». Elle a également menacé de « faire respecter le droit dans toute sa rigueur », soulignant que « ce groupuscule ne représente pas légitiment le mouvement étudiant (dont) les représentants légaux sont présents au Conseil d’Administration et sont régulièrement informés des projets du Coud ».