Le Sénégal est souvent le lieu d’une retraite paisible pour bon nombre d’Européens, qui y viennent passer le reste de leurs jours en toute tranquillité.
Mieux, certaines personnes se font une seconde vie et fondent une famille. C’est ce qui est arrivé à Daniel Michel Groussard, ancien directeur d’une association humanitaire qui œuvrait au pays de la Teranga.
Après avoir fait prévaloir ses droits à la retraite, il est donc venu vivre au Sénégal où il a rencontré une femme divorcée, Sokhna Diallo. De cette rencontre naîtra une union, qui verra aussi la naissance en 2012 d’un garçon.
Mais d’après « L’As », malheureusement deux ans plus tard, le couple bat de l’aile. Les disputes et autres accrochages rythment désormais la vie du couple. Groussard dépose une plainte pour coups et blessures volontaires qui aboutiront à la condamnation de son épouse pour un mois avec sursis. Après le divorce, un combat pour la garde de l’enfant est engagé.
Ainsi, le tribunal d’instance confie la garde à Sokhna Diallo et donne l’autorisation à M. Groussard de rendre visite à son fils à sa guise. Pour la garde de l’enfant, après deux plaintes, l’une de Groussard pour interdiction de rendre visite à son enfant, constaté par voie d’huissier, et une autre déposée par Sokhna Diallo, pour fuite avec son fils, constaté aussi par voie d’huissier, le Procureur a demandé une enquête.
Cependant, selon toujours « L’As », l’un des plaignants, Sokhna Diallo, a récusé le rapport d’enquête mené par les services de l’AEMO, un démembrement du Ministère de la Justice. Dans le rapport, l’enquête qui était menée par un stagiaire en son temps, a souligné que la femme souffrait d’une maladie psychique, qui a mis un terme à son premier mariage où elle a eu 3 enfants.
Mieux, vu la stabilité financière de M. Groussard et de sa disponibilité, il serait mieux que l’ex mari garde l’enfant. Pour sa part, Sokhna Diallo a balayé d’un revers de main ce rapport, affirmant ne point souffrir d’aucune affection et n’avoir jamais eu de problèmes psychiques. Elle soupçonne Daniel de tirer la couverture de son côté, pour que cette enquête lui soit favorable.
Interpellé sur la question, Daniel dit n’avoir aucun commentaire sur les propos de la dame, et nous a renvoyé voir l’Aemo et le juge, pour plus de détails. Du côté de l'Aemo, où nous avons laissé notre numéro de téléphone pour une promesse d’appel, et malgré nos allers et retours, c’est l’omerta.
Ce 20 mai, le Tribunal de Grande instance va donc statuer sur ce cas qui oppose un Français à une Sénégalaise qui soutient mordicus qu’il y a eu un parti-pris du stagiaire qui a mené l’enquête.
Mieux, certaines personnes se font une seconde vie et fondent une famille. C’est ce qui est arrivé à Daniel Michel Groussard, ancien directeur d’une association humanitaire qui œuvrait au pays de la Teranga.
Après avoir fait prévaloir ses droits à la retraite, il est donc venu vivre au Sénégal où il a rencontré une femme divorcée, Sokhna Diallo. De cette rencontre naîtra une union, qui verra aussi la naissance en 2012 d’un garçon.
Mais d’après « L’As », malheureusement deux ans plus tard, le couple bat de l’aile. Les disputes et autres accrochages rythment désormais la vie du couple. Groussard dépose une plainte pour coups et blessures volontaires qui aboutiront à la condamnation de son épouse pour un mois avec sursis. Après le divorce, un combat pour la garde de l’enfant est engagé.
Ainsi, le tribunal d’instance confie la garde à Sokhna Diallo et donne l’autorisation à M. Groussard de rendre visite à son fils à sa guise. Pour la garde de l’enfant, après deux plaintes, l’une de Groussard pour interdiction de rendre visite à son enfant, constaté par voie d’huissier, et une autre déposée par Sokhna Diallo, pour fuite avec son fils, constaté aussi par voie d’huissier, le Procureur a demandé une enquête.
Cependant, selon toujours « L’As », l’un des plaignants, Sokhna Diallo, a récusé le rapport d’enquête mené par les services de l’AEMO, un démembrement du Ministère de la Justice. Dans le rapport, l’enquête qui était menée par un stagiaire en son temps, a souligné que la femme souffrait d’une maladie psychique, qui a mis un terme à son premier mariage où elle a eu 3 enfants.
Mieux, vu la stabilité financière de M. Groussard et de sa disponibilité, il serait mieux que l’ex mari garde l’enfant. Pour sa part, Sokhna Diallo a balayé d’un revers de main ce rapport, affirmant ne point souffrir d’aucune affection et n’avoir jamais eu de problèmes psychiques. Elle soupçonne Daniel de tirer la couverture de son côté, pour que cette enquête lui soit favorable.
Interpellé sur la question, Daniel dit n’avoir aucun commentaire sur les propos de la dame, et nous a renvoyé voir l’Aemo et le juge, pour plus de détails. Du côté de l'Aemo, où nous avons laissé notre numéro de téléphone pour une promesse d’appel, et malgré nos allers et retours, c’est l’omerta.
Ce 20 mai, le Tribunal de Grande instance va donc statuer sur ce cas qui oppose un Français à une Sénégalaise qui soutient mordicus qu’il y a eu un parti-pris du stagiaire qui a mené l’enquête.
