Le contexte de la Quinzaine nationale de la Femme a été marqué, cette année à Thiès, par la visite que Président du mouvement citoyen « Siggi Jotna » a rendu aux détenues de la Mac de la Cité du rail. Cela, pour traduire en actes le concept de Responsabilité sociétale d’entreprise (Rse), conformément à l’option du gouvernement de faire de 2018 une « Année sociale ».
« Le Président Macky Sall a eu l’idée éclairée et pertinente d’imprimer à cette année-ci une dimension sociale. En octroyant des machines à coudre et un copieux repas aux femmes de la Mac de Thiès, nous n’avons fait que concrétiser sa vision qui est d’œuvrer inlassablement pour un mieux-être des populations du Sénégal plus particulièrement des couches sociales défavorisées.
Dans le cadre de la responsabilité sociétale, d’autres actions de grande vont suivre sous peu de temps », s’est engagé M. Dièye.
Embouchant la même trompette, le régisseur de la prison de Thiès saluera ce geste en ces termes : « Le mouvement Siggi Jotna a à son actif plusieurs actions de haute portée sociale et celle qui nous réunit aujourd’hui ne sera pas certainement pas la dernière. Les femmes qui sont dans les liens de la détention ont, elles aussi, droit à l’épanouissement comme toutes les autres femmes. Les machines à coudre vont leur permettre d’apprendre un métier et de pouvoir, plus tard, aborder sereinement leur insertion sociale ».
« Le Président Macky Sall a eu l’idée éclairée et pertinente d’imprimer à cette année-ci une dimension sociale. En octroyant des machines à coudre et un copieux repas aux femmes de la Mac de Thiès, nous n’avons fait que concrétiser sa vision qui est d’œuvrer inlassablement pour un mieux-être des populations du Sénégal plus particulièrement des couches sociales défavorisées.
Dans le cadre de la responsabilité sociétale, d’autres actions de grande vont suivre sous peu de temps », s’est engagé M. Dièye.
Embouchant la même trompette, le régisseur de la prison de Thiès saluera ce geste en ces termes : « Le mouvement Siggi Jotna a à son actif plusieurs actions de haute portée sociale et celle qui nous réunit aujourd’hui ne sera pas certainement pas la dernière. Les femmes qui sont dans les liens de la détention ont, elles aussi, droit à l’épanouissement comme toutes les autres femmes. Les machines à coudre vont leur permettre d’apprendre un métier et de pouvoir, plus tard, aborder sereinement leur insertion sociale ».