Financé par la Banque mondiale, le projet Ismea contribue à améliorer la disponibilité des services de santé reproductive et de la nutrition de qualité, de promouvoir la santé des adolescents, l’autonomisation des femmes mais aussi, de soutenir les réformes visant à renforcer les programmes, l’équité et la durabilité des financements dans les secteurs de la santé.
« Ce projet est déroulé dans les zones où les indicateurs pour l’amélioration de la santé étaient préoccupants » a laissé entendre le coordonnateur dudit projet, Dr. Oumar Sarr. Ces régions concernent Kédougou, Tambacounda, Kaffrine, Sédhiou et Ziguinchor et a démarré depuis 2019.
Hier, mardi, les acteurs de la mise en œuvre dudit projet ont observé une pause, le temps de passer à la revue à mi-parcours du projet Ismea, qui doit prendre fin en 2024. Pour Dr. Mbaye Thiam, consultant sur ledit projet, Ismea est une réponse adaptée aux inégalités de résultats en matière de santé maternelle, reproductive et infantile.
Toutefois, dans cette prise en charge, le volet nutrition a été le plus remarquable avec des performances rassurantes, selon le consultant Dr. Thiam. Toutefois, selon ce dernier, la fréquentation dans les services de santé a connu un grand élan.
« Cet indicateur a révélé une excellente performance. En effet, sur une cible attendue de 25% en 2021, plus de 78% des patients utilisent les services de santé bénéficiant de l’assurance maladie communautaire », a indiqué le consultant.
Toutefois, pour l’achèvement de la consultation prénatale, des variables ont été notées. Ainsi, l’analyse des variations annuelles de cet indicateur, a laissé ressortir selon les acteurs, une contre-performance mitigée. En effet, il passe de 66% en 2019 à 42% en 2020, avec une variation de 35%, avant d’augmenter jusqu’à 61% en 2021, avec une variation positive de 45,7% entre 2020 et 2021.
« Si les efforts fournis en 2021 pour cet indicateur sont maintenus, le gap qui permettrait d’atteindre la cible attendue de 81% en 2024, pourrait aisément être résorbé », a souligné Dr. Mbaye Thiam.
Revenant sur les obstacles de ces contre-performances, l’exposé de Dr. Thiam a fait ressortir un problème de formation et de coordination. Toutefois, il a fait le plaidoyer pour que les bénéficiaires qui sont les médecins-chefs de districts, soient des bénéficiaires directs et non secondaires, afin de rattraper les gaps.
« Ce projet est déroulé dans les zones où les indicateurs pour l’amélioration de la santé étaient préoccupants » a laissé entendre le coordonnateur dudit projet, Dr. Oumar Sarr. Ces régions concernent Kédougou, Tambacounda, Kaffrine, Sédhiou et Ziguinchor et a démarré depuis 2019.
Hier, mardi, les acteurs de la mise en œuvre dudit projet ont observé une pause, le temps de passer à la revue à mi-parcours du projet Ismea, qui doit prendre fin en 2024. Pour Dr. Mbaye Thiam, consultant sur ledit projet, Ismea est une réponse adaptée aux inégalités de résultats en matière de santé maternelle, reproductive et infantile.
Toutefois, dans cette prise en charge, le volet nutrition a été le plus remarquable avec des performances rassurantes, selon le consultant Dr. Thiam. Toutefois, selon ce dernier, la fréquentation dans les services de santé a connu un grand élan.
« Cet indicateur a révélé une excellente performance. En effet, sur une cible attendue de 25% en 2021, plus de 78% des patients utilisent les services de santé bénéficiant de l’assurance maladie communautaire », a indiqué le consultant.
Toutefois, pour l’achèvement de la consultation prénatale, des variables ont été notées. Ainsi, l’analyse des variations annuelles de cet indicateur, a laissé ressortir selon les acteurs, une contre-performance mitigée. En effet, il passe de 66% en 2019 à 42% en 2020, avec une variation de 35%, avant d’augmenter jusqu’à 61% en 2021, avec une variation positive de 45,7% entre 2020 et 2021.
« Si les efforts fournis en 2021 pour cet indicateur sont maintenus, le gap qui permettrait d’atteindre la cible attendue de 81% en 2024, pourrait aisément être résorbé », a souligné Dr. Mbaye Thiam.
Revenant sur les obstacles de ces contre-performances, l’exposé de Dr. Thiam a fait ressortir un problème de formation et de coordination. Toutefois, il a fait le plaidoyer pour que les bénéficiaires qui sont les médecins-chefs de districts, soient des bénéficiaires directs et non secondaires, afin de rattraper les gaps.