D’après lui, si la révision exceptionnelle des listes électorales fixée par le décret du 7 mars est prévue pour un mois seulement, c'est parce que l'on comprend que les jeunes ont soif du changement.
«Macky sait que les primo-votants et les Sénégalais dans leur écrasante majorité lui ont tourné le dos», dira le candidat déclaré à la présidentielle du 25 février 2024. Non sans interpeller les politiques et la société civile.
D'ailleurs dit-il, Ndiaga Sylla a commencé à s'interroger. «Tout le monde sait que le délai n'est pas suffisant et il démontre qu'il ne veut pas, en vérité, auditer le fichier, encore moins organiser des élections transparentes», a martelé Déthié Fall.
Revenant sur le meeting du 14 mars prochain prévu par Yewwi, il dira que Macky Sall est minoritaire dans ce pays. Il précise qu'ils ont déposé deux lieux pour le rassemblement, pour éviter que le «président Sall, dans sa ruse, initie des chantiers sur les lieux».
Il s'agit du terrain de Khar Yalla (Grand-Yoff) et le terrain Acapes (Parcelles-Assainies). Le choix de cette date coïncidant avec l'avant-veille du procès Mame Mbaye Niang contre Ousmane Sonko n'est pas fortuit. «Ce que Macky veut, nous le savons, mais ça ne passera pas», renchérit l’ex bras de Idrissa Seck.
«Macky sait que les primo-votants et les Sénégalais dans leur écrasante majorité lui ont tourné le dos», dira le candidat déclaré à la présidentielle du 25 février 2024. Non sans interpeller les politiques et la société civile.
D'ailleurs dit-il, Ndiaga Sylla a commencé à s'interroger. «Tout le monde sait que le délai n'est pas suffisant et il démontre qu'il ne veut pas, en vérité, auditer le fichier, encore moins organiser des élections transparentes», a martelé Déthié Fall.
Revenant sur le meeting du 14 mars prochain prévu par Yewwi, il dira que Macky Sall est minoritaire dans ce pays. Il précise qu'ils ont déposé deux lieux pour le rassemblement, pour éviter que le «président Sall, dans sa ruse, initie des chantiers sur les lieux».
Il s'agit du terrain de Khar Yalla (Grand-Yoff) et le terrain Acapes (Parcelles-Assainies). Le choix de cette date coïncidant avec l'avant-veille du procès Mame Mbaye Niang contre Ousmane Sonko n'est pas fortuit. «Ce que Macky veut, nous le savons, mais ça ne passera pas», renchérit l’ex bras de Idrissa Seck.