C’est pourquoi, dit-il : «Nous voulons mettre en cause ce droit de grève dans le corps des enseignants et dans le corps des personnels de santé. Nous voulons poser ça sur la table. Et c’est pourquoi, nous avions voulu profiter du dialogue national. Mais on avait présélectionné les gens qui devaient prendre la parole. De sorte que ça n’avait plus d’importance que l’on reste là -bas, on est parti. Maintenant quand on dit dialogue national, cela ne veut pas dire dialogue politique. Il faut qu’on parle des problèmes sociaux. Les enseignants ne sont pas raisonnables, c’est ça la vérité. Il font toujours de la surenchère et ça retombe sur les élèves».
Selon Me Massokhna Kane sur Walf radio, «toutes les formes, toutes les manipulations, les manifestations, les rétentions de notes, les boycotts de conseil de classe, les débrayages, les mouvements d’humeur, ne sont pas nécessaires. Ils ont des devoirs, ils doivent remplir leurs obligations. Dans tous les pays développés, les gens revendiquent mais ils le font en travaillant. Nous ce qu’on demande, c’est qu’ils revendiquent mais en travaillant».
«Il ne faut pas sacrifier les élèves. C’est vraiment immoral, ils n’ont qu’à revendiquer en travaillant. Et quand ont fait des ponctions sur les salaires, ils menacent et ils exigent qu’on les rembourse. Et ce serait un détournement de deniers publics», sermonne le président de SOS Consommateur.
PressAfrik.com
Selon Me Massokhna Kane sur Walf radio, «toutes les formes, toutes les manipulations, les manifestations, les rétentions de notes, les boycotts de conseil de classe, les débrayages, les mouvements d’humeur, ne sont pas nécessaires. Ils ont des devoirs, ils doivent remplir leurs obligations. Dans tous les pays développés, les gens revendiquent mais ils le font en travaillant. Nous ce qu’on demande, c’est qu’ils revendiquent mais en travaillant».
«Il ne faut pas sacrifier les élèves. C’est vraiment immoral, ils n’ont qu’à revendiquer en travaillant. Et quand ont fait des ponctions sur les salaires, ils menacent et ils exigent qu’on les rembourse. Et ce serait un détournement de deniers publics», sermonne le président de SOS Consommateur.
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