C’est par une virée nocturne que Maty Mbodji a débuté sa soirée, la veille de sa mort, informe “L’Observateur”. En compagnie d’un cercle d’amis, elle est sortie pour se défouler. Plus tard, tout ce beau monde s’est retrouvé dans un appartement meublé au centre-ville. Sans doute pour terminer la soirée en beauté. Qu’est-ce qui s’est passé dans cet appartement ? En tout cas, selon la version officielle, elle a été découverte inerte dans sa chambre à la zone A, même si beaucoup, même quelque-uns de ses voisins, pensent qu’elle n’est pas décédée dans son appartement. Des questions auxquelles la Sûreté urbaine en charge de l’enquête répondra
En tout cas, révèle “L’Observateur”, outre son amie, Adja Diallo, une autre de ses collègues, très en vue dans le milieu ferait partie de la bande des fêtards. Celle-ci a subitement disparu de la scène depuis l’annonce du décès de Maty Mbodji. Des stylistes qui avaient besoin de louer ses services sont tombés sur sa boite vocale. Elle ne serait d’ailleurs pas la seule dans ce cas. Beaucoup d’autres mannequins ont tout simplement préféré changer de numéro ou éteindre leurs portables, en attendant que les choses se tassent. “Qu’ont-elle à cacher ? Sont-elles au courant de choses compromettantes ?”, se demande “L’Observateur”. Le journal révèle que parmi les amis qui ont partagé les derniers instants de la défunte figurent en bonne place des individus réputés être des entremetteurs. Une ancienne gérante d’une boite de nuit très sélecte des Almadies fait aussi partie du lot. Ils auraient tous quitté le fameux appartement, y laissant Maty.
En tout cas, révèle “L’Observateur”, outre son amie, Adja Diallo, une autre de ses collègues, très en vue dans le milieu ferait partie de la bande des fêtards. Celle-ci a subitement disparu de la scène depuis l’annonce du décès de Maty Mbodji. Des stylistes qui avaient besoin de louer ses services sont tombés sur sa boite vocale. Elle ne serait d’ailleurs pas la seule dans ce cas. Beaucoup d’autres mannequins ont tout simplement préféré changer de numéro ou éteindre leurs portables, en attendant que les choses se tassent. “Qu’ont-elle à cacher ? Sont-elles au courant de choses compromettantes ?”, se demande “L’Observateur”. Le journal révèle que parmi les amis qui ont partagé les derniers instants de la défunte figurent en bonne place des individus réputés être des entremetteurs. Une ancienne gérante d’une boite de nuit très sélecte des Almadies fait aussi partie du lot. Ils auraient tous quitté le fameux appartement, y laissant Maty.