Réaction de la famille…..
Sa grand-mère, Aïssatou Ndong, veut revoir ou même entendre sa petite-fille introuvable. “C’est une vraie éducation qu’elle a reçue. Depuis cette affaire, je ne dors pas. Cela fait longtemps que je ne dors pas. Je vous le dis. Je pense beaucoup à elle“, a-t-elle déclaré sur Rfm.
Tout comme sa grand-mère, son oncle Moussa Thior est sidéré. “Oui, nous avons mal. Quand on parle du mal d’elle (Ndlr : Adji Sarr), ça ne peut que nous faire mal. Mais laissons la justice faire son travail. Nous voulons la voir, l’entendre. Mais on n’y arrive pas“, se confie-t-il.
Pilule…
” À la fin, je lui ai dit que le massage est fini, mais il est resté couché. Je lui ai encore répété : “Tonton, le massage est fini”. Il m’a alors demandé si je le reconnaissais. J’ai dit non et je lui ai rétorqué que je n’avais pas besoin de le reconnaître (…). Il m’a dit que la seule manière de garder mon boulot est de le satisfaire. N’ayant pas le choix, je me suis déshabillée et me suis couchée sur la table où je lui faisais le massage (…). Après les rapports sexuels non protégés, Sonko me proposait toujours d’aller acheter une pilule”, confie-t-elle.
Pour en savoir plus, écoutez l'élément ci-après:
Sa grand-mère, Aïssatou Ndong, veut revoir ou même entendre sa petite-fille introuvable. “C’est une vraie éducation qu’elle a reçue. Depuis cette affaire, je ne dors pas. Cela fait longtemps que je ne dors pas. Je vous le dis. Je pense beaucoup à elle“, a-t-elle déclaré sur Rfm.
Tout comme sa grand-mère, son oncle Moussa Thior est sidéré. “Oui, nous avons mal. Quand on parle du mal d’elle (Ndlr : Adji Sarr), ça ne peut que nous faire mal. Mais laissons la justice faire son travail. Nous voulons la voir, l’entendre. Mais on n’y arrive pas“, se confie-t-il.
Pilule…
” À la fin, je lui ai dit que le massage est fini, mais il est resté couché. Je lui ai encore répété : “Tonton, le massage est fini”. Il m’a alors demandé si je le reconnaissais. J’ai dit non et je lui ai rétorqué que je n’avais pas besoin de le reconnaître (…). Il m’a dit que la seule manière de garder mon boulot est de le satisfaire. N’ayant pas le choix, je me suis déshabillée et me suis couchée sur la table où je lui faisais le massage (…). Après les rapports sexuels non protégés, Sonko me proposait toujours d’aller acheter une pilule”, confie-t-elle.
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