L’entreprise terroriste de l’ex-Pastef menace la biennale de Dakar en complicité avec le Ministère de la Culture du Sénégal.
Par Abdoulaye Mamadou Guissé
La dissolution logique du Pastef au mois de juillet 2023 a secoué les sympathisants et militants clandestins de ce parti insurrectionnel au projet noyé dans le jacuzzi de Sweet Beauté. Au point que même si l’université Cheikh Anta Diop de Dakar est agressée, attaquée, facultés et archives pillées, des intellectuels malhonnêtes, traitres et anti-progressistes comme Felwine Sarr, Dr Malick Ndiaye, Babacar Mbaye Diop, Khady Gadiaga de la Biennale, Docta, le graffitiste envahissant se taisent et cautionnent sur ces destructions massives suite à l’appel à l’insurrection de Sonko, leader de l’ex Pastef, violeur des droits féminins.
Ces acteurs semi-clandestins de l’ex Pastef, farouchement contre le régime du président Macky Sall ont failli saborder la quatorzième de la Biennale de l’Art africain contemporain en 2022 avec la désinvolture du Ministre d’alors, Abdoulaye Diop en charge de la Culture qui n’avait rien compris sur les traquenards posés contre la Biennale, tout ceci sous la direction passive de Marieme Ba, Secrétaire générale de la Biennale.
Et au point qu’au sortir de la Biennale, un groupe d’artistes sous la conduite du plasticien Ousmane Dia, de l’artiste-scénographe Viyé Diba et d’autres personnalités de la culture se sont réunis à Ngor Diarama pour exiger la démission de la Secrétaire générale Marieme Ba.
En 2022, Felwine Sarr, amassant des millions comme Président de la Commission scientifique de la Biennale, a biaisé les rencontres scientifiques de Dak’Art au Musée des Civilisations Noires.
Dr Malick Ndiaye, Directeur artistique de Dak’Art 2022 a fait baisser le niveau de la participation artistique et créative de la Biennale. Dr Malick Ndiaye, Conservateur du Musée Théodore Monod Ifan fait partie des 140 signataires qui exigent la libération de Sonko sans condamner les saccages des archives universitaires, des biens publics et privés suite aux multiples appels de Sonko: Mortel Combat, Gatsa Gatsa.
Khady Gadiaga propagatrice de gatsa-gatsa, Chargée de la communication de la Biennale à travers l’agence Osmose, a fait capoter la communication visuelle, digitale, informative et classique de la Biennale de 2022. Ses sorties virulentes surtout non fondées sur les sites et le journal Témoin contre le président Macky Sall, son régime sonnent comme une véritable campagne de dénigrement et de calomnie contre l’Etat du Sénégal.
Tandis que Babacar Mbaye Diop, ancien Secrétaire général de la Biennale avec une dette d’une centaine de millions, actuel Directeur de l’Institut supérieur des arts ISAC/Ifan-Ucad, s’active auprès des 140 des signataires, soi-disant intellectuels sénégalais, africains et étrangers qui mènent une campagne de fragilisation des institutions sénégalaises et de libération de Sonko, l’habitué de Sweet beauté, violeur de couvre-feu au pic de la Covid-19 .
Le signataire Babacar Mbaye Diop et son acolyte de Malick Ndiaye, actuel Directeur artistique vise la prochaine Biennale pour la faire échouer. Et tout cela qui se prépare avec Docta qui donne le ton avec ses graffitis sur Kemi Séba qu’il hisse en héros sur les murs de Dakar et ses contributions-web de calomnie au régime de Macky Sall tout en se nichant au Centre culturel Blaise Senghor. Le tout sous l’œil désinvolte et complice du Ministre Aliou Sow, un opportuniste pouvoiriste et fin calculateur dans ses acrobaties.
La preuve, c’est le médiocre artiste Didier Awady, souteneur de Sonko, pourfendeur du président Macky Sall est toujours programmé en pôle-position à l’animation musicale de la Biennale au détriment des artistes rappeurs qui s’en offusquent en déplorant « pourquoi toujours Awady ? ».
Felwine Sarr, Dr Malick Ndiaye, Khady Gadiaga, Babacar Mbaye Diop comptent aller à la vitesse supérieure pour mettre à genoux la Biennale de 2024 avec certainement la bénédiction du ministre Aliou Sow qui ne fait rien pour stopper cette bande pro-Sonko dont la mission est de faire échouer tout ce qui est en leur pouvoir.
Alors c’est eux qui contrôlent la Biennale de Dakar, le plus grand événement culturel majeur de l’Etat du Sénégal.
Et les efforts du Président Macky Sall, doublant le budget de la Biennale de 500 millions à 1 milliard, mettant à la disposition de la Biennale l’ancien Palais de justice entre autres moyens logistiques, ces efforts risquent d’être anéantis avec l’accaparement de la Biennale par les Pastéfiens.
La condamnation en prison de leur gourou et la disparition de Pastef de la scène politique légale ont fait exploser la cervelle de ces disciples de Sonko. Felwine Sarr, depuis quelques mois, multiplie avec d’indignes intellectuelles des contributions, des pétitions contre le régime légalement constitué, contre l’Etat de droit au Sénégal, contre la séparation des pouvoirs.
Pour rappel, la Biennale de Dakar, intitulée Dak’Art, est l’une des principales manifestations d’Art contemporain africain à consacrer aux artistes vivant sur et hors du continent. Instituée par l’État du Sénégal depuis 1989.
C’est la plus ancienne Biennale en Afrique et aussi pionnière dans le développement de l’art contemporain en Afrique.
Notre impérieux devoir est de préserver et de promouvoir la Biennale de Dakar.
Le président Macky Sall dans son combat pour la restauration de l’autorité de l’Etat et la sauvegarde de la république du Sénégal doit agir et vite. Une épuration s’impose et le Ministère de la culture doit dégager dans la forme et le fond.
Abdoulaye Mamadou GUISSE
Président du parti Politique Fulla ak Fayda.