Melinda French Gates et Bill Gates appellent à une action urgente pour faire progresser les Objectifs de développement durable de l'ONU et mettre en avant la réduction de la mortalité maternelle et infantile.
Dans le septième rapport annuel Goalkeepers publié hier, il a été décrit les domaines dans lesquels le monde a collectivement échoué à mi-parcours, dans ses efforts pour atteindre les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies et dans lesquels, l'innovation et l'investissement peuvent stimuler des progrès, en particulier dans la lutte contre l'épidémie mondiale de mortalité maternelle et infantile.
Le rapport de la fondation Bill & Melinda Gates met en évidence de nouvelles données qui montrent le potentiel d'étendre l'accès mondial à sept innovations et pratiques qui s'attaquent aux principales causes de mortalité maternelle et infantile. « En rendant les nouvelles innovations accessibles à ceux qui en ont le plus besoin, 2 millions de vies supplémentaires pourraient être sauvées d'ici 2030 et 6,4 millions de vies d'ici 2040 », lit-on dans le document parvenu à « L’AS ».
Qui précise que cela représente 2 millions de familles auxquelles un chagrin inimaginable est ainsi évité – et 2 millions de personnes supplémentaires qui peuvent façonner et enrichir notre monde. La fondation rappelle ainsi que depuis 2016, les progrès en matière de réduction de la mortalité maternelle mondiale, sont au point mort et dans certains pays, dont les Etats-Unis, les taux de mortalité ont augmenté de manière soutenue.
À travers le monde, souligne-telle, près de 800 femmes meurent chaque jour en couches. A l’en croire, même si les décès d’enfants de moins de 5 ans, ont continué de diminuer depuis le milieu des années 2010, le premier mois de la vie d’un nouveau-né reste le plus à risque, et représente aujourd’hui, près de la moitié de tous les décès d’enfants âgés de moins de 5 ans. Il est estimé que 74 % des décès d’enfants surviennent au cours de la première année de vie d’un bébé. Ils reconnaissent pour autant les efforts mondiaux déployés entre 2000 et 2015, qui ont considérablement amélioré la santé des mères et des bébés, mais soulignent que les progrès sont au point mort depuis la pandémie de COVID-19.
Ils expliquent également comment la découverte d'informations révolutionnaires sur la santé maternelle et infantile au cours des 10 dernières années, a conduit à des innovations et des pratiques peu coûteuses et faciles à mettre en œuvre, qui préviennent et traitent les complications mortelles de l'accouchement telles que les hémorragies post-partum, les infections et l'anémie maternelle. Ils appellent à une action immédiate pour aider à remettre le monde sur la bonne voie, pour atteindre l'objectif mondial de réduire le taux de mortalité maternelle à moins de 70 sur 100 000 naissances et de mortalité néonatale à 12 décès pour 1 000 naissances vivantes d'ici 2030.
À mi-chemin de l'échéance des ODD, le rapport Goalkeepers montre que sur 18 indicateurs, allant de la pauvreté à l'égalité des sexes, de l'éducation à la sécurité alimentaire, de la santé au climat, le monde fait fausse route. Il souligne ainsi le besoin urgent d'agir, ainsi que d'un engagement mondial renouvelé pour assurer un avenir plus équitable et plus sûr pour tous d'ici 2030. «Pour les mères et les bébés, l'accès aux soins de santé de qualité dont ils ont besoin pour vivre longtemps et en bonne santé nécessitera des changements dans les politiques, une volonté politique et davantage d'investissements dans la santé des femmes et dans les travailleurs de la santé, notamment les sage-femmes », lit-on, en définitive, dans le rapport de la fondation Bill & Melinda Gates.
Dans le septième rapport annuel Goalkeepers publié hier, il a été décrit les domaines dans lesquels le monde a collectivement échoué à mi-parcours, dans ses efforts pour atteindre les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies et dans lesquels, l'innovation et l'investissement peuvent stimuler des progrès, en particulier dans la lutte contre l'épidémie mondiale de mortalité maternelle et infantile.
Le rapport de la fondation Bill & Melinda Gates met en évidence de nouvelles données qui montrent le potentiel d'étendre l'accès mondial à sept innovations et pratiques qui s'attaquent aux principales causes de mortalité maternelle et infantile. « En rendant les nouvelles innovations accessibles à ceux qui en ont le plus besoin, 2 millions de vies supplémentaires pourraient être sauvées d'ici 2030 et 6,4 millions de vies d'ici 2040 », lit-on dans le document parvenu à « L’AS ».
Qui précise que cela représente 2 millions de familles auxquelles un chagrin inimaginable est ainsi évité – et 2 millions de personnes supplémentaires qui peuvent façonner et enrichir notre monde. La fondation rappelle ainsi que depuis 2016, les progrès en matière de réduction de la mortalité maternelle mondiale, sont au point mort et dans certains pays, dont les Etats-Unis, les taux de mortalité ont augmenté de manière soutenue.
À travers le monde, souligne-telle, près de 800 femmes meurent chaque jour en couches. A l’en croire, même si les décès d’enfants de moins de 5 ans, ont continué de diminuer depuis le milieu des années 2010, le premier mois de la vie d’un nouveau-né reste le plus à risque, et représente aujourd’hui, près de la moitié de tous les décès d’enfants âgés de moins de 5 ans. Il est estimé que 74 % des décès d’enfants surviennent au cours de la première année de vie d’un bébé. Ils reconnaissent pour autant les efforts mondiaux déployés entre 2000 et 2015, qui ont considérablement amélioré la santé des mères et des bébés, mais soulignent que les progrès sont au point mort depuis la pandémie de COVID-19.
Ils expliquent également comment la découverte d'informations révolutionnaires sur la santé maternelle et infantile au cours des 10 dernières années, a conduit à des innovations et des pratiques peu coûteuses et faciles à mettre en œuvre, qui préviennent et traitent les complications mortelles de l'accouchement telles que les hémorragies post-partum, les infections et l'anémie maternelle. Ils appellent à une action immédiate pour aider à remettre le monde sur la bonne voie, pour atteindre l'objectif mondial de réduire le taux de mortalité maternelle à moins de 70 sur 100 000 naissances et de mortalité néonatale à 12 décès pour 1 000 naissances vivantes d'ici 2030.
À mi-chemin de l'échéance des ODD, le rapport Goalkeepers montre que sur 18 indicateurs, allant de la pauvreté à l'égalité des sexes, de l'éducation à la sécurité alimentaire, de la santé au climat, le monde fait fausse route. Il souligne ainsi le besoin urgent d'agir, ainsi que d'un engagement mondial renouvelé pour assurer un avenir plus équitable et plus sûr pour tous d'ici 2030. «Pour les mères et les bébés, l'accès aux soins de santé de qualité dont ils ont besoin pour vivre longtemps et en bonne santé nécessitera des changements dans les politiques, une volonté politique et davantage d'investissements dans la santé des femmes et dans les travailleurs de la santé, notamment les sage-femmes », lit-on, en définitive, dans le rapport de la fondation Bill & Melinda Gates.