Le Programme de Mise à l’échelle de la structuration du Marché des boues de vidange (PME-SMBV 2020-2025) entre dans une nouvelle phase. Le Directeur général de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS), a présidé, le 16 août la réunion de démarrage de l’étude portant sur : ‘’l’audit technique et organisationnelle de la chaîne de services des boues de vidange au Sénégal’’.
« L’objectif du PME-SMBV est de contribuer à l’atteinte des objectifs de la Lettre de Politique Sectorielle de Développement de l’Eau et de l’Assainissement ( 2016-2025) tout en garantissant l’accès aux ménages de 20 villes sénégalaises y compris les plus pauvres à des services d’assainissement sécurisés et répondant à leurs attentes », a relevé le Directeur Général, Mamadou Mamour Diallo. Il a précisé que les objectifs sont entre autres la consolidation du cadre institutionnel et des réformes sectorielles, l’amélioration de l’accès à des services sécurisés, le renforcement des capacités des stations de traitement des boues de vidange.
L’ONAS ambitionne de passer à un autre cap. Faudrait-il le rappeler, le Président de la République, Macky Sall lors la 4ème Conférence sur l’Eau et l’Assainissement ‘’Africasan’’ avait déclaré : « Après des succès et des limites, il s’agit maintenant d’aller de l’avant. Nous devons identifier des obstacles et explorer les solutions les mieux indiquées pour améliorer l’accès à l’assainissement », a cité le Directeur Général.
Il s’agit alors, pour l’ONAS de faire sienne de cette recommandation et de trouver des solutions destinées à renforcer un maillon faible : valorisation/réutilisation. « Il se trouve que le maillon Valorisation/Réutilisation est le talon d’Achille qui empêche, entre autres, de faire du sous-secteur de l’assainissement voire même du service de l’assainissement autonome un domaine marchand à travers la valorisation des produits dérivés », a relevé Mamadou Mamour Diallo.
L’étude en question devrait permettre au Sénégal de concevoir et de construire de nouvelles stations de traitement des boues de vidange. Ces nouveaux modèles auront un avantage comparatif. Il s’agit d’un traitement intensif et mécanisé des boues afin de limiter les lits de séchage et de raccourcir le processus. Au lieu d’une station sur plusieurs hectares, 500 m2 pourront suffire pour accueillir l’espace.
En outre, il y a la possibilité de valoriser les boues en composts et de réutiliser les eaux pour les bâtiments et les travaux publics et l’agriculture. En vérité, le sous-secteur est un créneau favorable à la création des emplois et de richesses.
« L’objectif du PME-SMBV est de contribuer à l’atteinte des objectifs de la Lettre de Politique Sectorielle de Développement de l’Eau et de l’Assainissement ( 2016-2025) tout en garantissant l’accès aux ménages de 20 villes sénégalaises y compris les plus pauvres à des services d’assainissement sécurisés et répondant à leurs attentes », a relevé le Directeur Général, Mamadou Mamour Diallo. Il a précisé que les objectifs sont entre autres la consolidation du cadre institutionnel et des réformes sectorielles, l’amélioration de l’accès à des services sécurisés, le renforcement des capacités des stations de traitement des boues de vidange.
L’ONAS ambitionne de passer à un autre cap. Faudrait-il le rappeler, le Président de la République, Macky Sall lors la 4ème Conférence sur l’Eau et l’Assainissement ‘’Africasan’’ avait déclaré : « Après des succès et des limites, il s’agit maintenant d’aller de l’avant. Nous devons identifier des obstacles et explorer les solutions les mieux indiquées pour améliorer l’accès à l’assainissement », a cité le Directeur Général.
Il s’agit alors, pour l’ONAS de faire sienne de cette recommandation et de trouver des solutions destinées à renforcer un maillon faible : valorisation/réutilisation. « Il se trouve que le maillon Valorisation/Réutilisation est le talon d’Achille qui empêche, entre autres, de faire du sous-secteur de l’assainissement voire même du service de l’assainissement autonome un domaine marchand à travers la valorisation des produits dérivés », a relevé Mamadou Mamour Diallo.
L’étude en question devrait permettre au Sénégal de concevoir et de construire de nouvelles stations de traitement des boues de vidange. Ces nouveaux modèles auront un avantage comparatif. Il s’agit d’un traitement intensif et mécanisé des boues afin de limiter les lits de séchage et de raccourcir le processus. Au lieu d’une station sur plusieurs hectares, 500 m2 pourront suffire pour accueillir l’espace.
En outre, il y a la possibilité de valoriser les boues en composts et de réutiliser les eaux pour les bâtiments et les travaux publics et l’agriculture. En vérité, le sous-secteur est un créneau favorable à la création des emplois et de richesses.