Le triste spectacle des enfants peuplant les artères et avenues de nos villes à la recherche de la pitance, à une heure où ils devraient être dans les salles de classe, ne sera plus qu’un mauvais souvenir. Une décision prise par l’Etat qui a lancé le plan de retrait d’urgence des enfants de la rue. A en croire Le Quotidien, le ministre de la Femme, Mariama Sarr, fera le retrait accompagné par le ministre de l’Intérieur à travers la brigade des mineurs qui procédera, en même temps, à l’identification de tous les enfants avant leur placement dans les centres d’accueil.
Cette phase, explique Mme Sarr, sera suivie par un processus de réhabilitation qui va permettre d’offrir aux enfants les services de protection nécessaires. Le but recherché est de procéder à leur retour dans les espaces familiaux. Pour les enfants venant de la région, le retour se fera en action avec les autorités administratives compétentes qui seront chargées de les remettre à leur famille.
En ce qui concerne les enfants originaires des pays limitrophes, le journal renseigne que le dispositif du réseau ouest africain pour la protection de l’enfance sera mis à contribution, en relation avec les ambassades des pays concernés. Pour s’inscrire dans la durée, un comité restreint opérationnel, composé des représentants des départements sectoriels, des organisations de la société civile, des leaders d’opinion et des partenaires techniques et financiers, va s’occuper de la coordination et du suivi du travail.
Ce plan vise à retirer et à réhabiliter les enfants exploités et en situation dangereuses et cela nécessite un accompagnement financier. Mais, Mariama Sarr rassure : "Sur la question des ressources nécessaires à l’opérationnalisation de ce plan, le gouvernement ne ménagera aucun effort pour mobiliser tous les moyens à sa disposition".
Cette phase, explique Mme Sarr, sera suivie par un processus de réhabilitation qui va permettre d’offrir aux enfants les services de protection nécessaires. Le but recherché est de procéder à leur retour dans les espaces familiaux. Pour les enfants venant de la région, le retour se fera en action avec les autorités administratives compétentes qui seront chargées de les remettre à leur famille.
En ce qui concerne les enfants originaires des pays limitrophes, le journal renseigne que le dispositif du réseau ouest africain pour la protection de l’enfance sera mis à contribution, en relation avec les ambassades des pays concernés. Pour s’inscrire dans la durée, un comité restreint opérationnel, composé des représentants des départements sectoriels, des organisations de la société civile, des leaders d’opinion et des partenaires techniques et financiers, va s’occuper de la coordination et du suivi du travail.
Ce plan vise à retirer et à réhabiliter les enfants exploités et en situation dangereuses et cela nécessite un accompagnement financier. Mais, Mariama Sarr rassure : "Sur la question des ressources nécessaires à l’opérationnalisation de ce plan, le gouvernement ne ménagera aucun effort pour mobiliser tous les moyens à sa disposition".