Ce fut à cause d’un officier de police qui a remis en cause la carte nationale de la presse. Il s’agit du commandant des troupes du Groupement mobile d’intervention (GMI) aux alentours de la Grande Mosquée.
Il a signifié aux journalistes que cette carte n’est pas valable pour accéder sur les lieux, sans préciser non plus, s’il y avait des accréditations exceptionnelles.
D’où la nécessité de sensibiliser davantage les forces de sécurité sur la mise en place d’une telle carte d’un commun accord entre l’Etat du Sénégal et les professionnels du secteur dans le but d’assainir la presse.
Sud quotidien
Il a signifié aux journalistes que cette carte n’est pas valable pour accéder sur les lieux, sans préciser non plus, s’il y avait des accréditations exceptionnelles.
D’où la nécessité de sensibiliser davantage les forces de sécurité sur la mise en place d’une telle carte d’un commun accord entre l’Etat du Sénégal et les professionnels du secteur dans le but d’assainir la presse.
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