Paiement des augmentations de salaire et des indemnités de la retraite, transfert agité du fret à une autre entreprise. Telles sont les grandes exigences au tableau du Syndicat national des travailleurs des Grands trains du Sénégal(Gts). Momar Sall, reconduit Secrétaire général à l’issue du Congrès ordinaire organisé samedi au Cnfa, exige une résolution des problèmes que le bureau nouvellement installé a érigés en sur-priorités.
«Ce nouveau mandat sera axé sur certains points qu’on aura à défendre», a d’emblée indiqué M. Sall. Naturellement, les considérations financières occupent une bonne partie des préoccupations.
«Jusqu’à présent, ils refusent d’appliquer les augmentations octroyées par l’Etat en 2020 et 2023. Depuis deux ans, nous courons après et ça tarde à venir. Ça risque d’envenimer la situation, mais surtout créer des problèmes et détruire le climat social au niveau de l’entreprise. Nous demandons à ce qu’elles soient appliquées le plus rapidement possible», a insisté le Sg, accusant le Conseil d’administration d’être la cause du blocage.
«C’est un défi pour nous et nous ferons tout pour que ces augmentations soient payées», a-t-il assuré. Selon lui, la situation financière de la boîte n’est pas au beau fixe, mais ceci ne doit en aucun cas être une raison pour bloquer ces fonds, et encore priver les retraités de leur indemnité.
«Avec les difficultés financières, nos retraités tardent à être payés, et c’est quelque chose que nous ne tolérerons plus. Depuis un an, ils courent après leur indemnité. Il faut que la Direction générale, qui est là de par sa fonction, aillent chercher les moyens pour régler ça», a assuré M. Sall.
Des considérations organisationnelles et fonctionnelles viennent s’ajouter à la plateforme de doléances émises par le syndicat. Parmi celles-ci, l’accord d’établissement qui peine encore à être appliqué.
«Ils nous disent qu’au niveau des Gts, il n’y a pas d’activité, mais le fait que les trains soient à l’arrêt n’est pas de la faute des travailleurs. C’est l’Etat, avec le projet du Ter, qui nous a obligés à arrêter les trains, et l’Etat s’était engagé à ce qu’on ne perde pas nos avantages», a souligné le Sg à ce sujet, pointant encore la responsabilité du Conseil d’administration. Ces travailleurs ont aussi évoqué la reprise des activités.
«Le rail a été réhabilité et le train est fonctionnel ; rien n’empêche donc les trains de circuler à nouveau», a noté M. Sall. Il s’agira à ce sujet d’une exploitation complète. «Nous exigeons la reprise du trafic ; aussi bien le trafic voyageur que le fret qui revient aux Gts», a-t-il souligné, tout en refusant de croire aux rumeurs distillant le transfèrement du fret à une autre entreprise.
«Ce nouveau mandat sera axé sur certains points qu’on aura à défendre», a d’emblée indiqué M. Sall. Naturellement, les considérations financières occupent une bonne partie des préoccupations.
«Jusqu’à présent, ils refusent d’appliquer les augmentations octroyées par l’Etat en 2020 et 2023. Depuis deux ans, nous courons après et ça tarde à venir. Ça risque d’envenimer la situation, mais surtout créer des problèmes et détruire le climat social au niveau de l’entreprise. Nous demandons à ce qu’elles soient appliquées le plus rapidement possible», a insisté le Sg, accusant le Conseil d’administration d’être la cause du blocage.
«C’est un défi pour nous et nous ferons tout pour que ces augmentations soient payées», a-t-il assuré. Selon lui, la situation financière de la boîte n’est pas au beau fixe, mais ceci ne doit en aucun cas être une raison pour bloquer ces fonds, et encore priver les retraités de leur indemnité.
«Avec les difficultés financières, nos retraités tardent à être payés, et c’est quelque chose que nous ne tolérerons plus. Depuis un an, ils courent après leur indemnité. Il faut que la Direction générale, qui est là de par sa fonction, aillent chercher les moyens pour régler ça», a assuré M. Sall.
Des considérations organisationnelles et fonctionnelles viennent s’ajouter à la plateforme de doléances émises par le syndicat. Parmi celles-ci, l’accord d’établissement qui peine encore à être appliqué.
«Ils nous disent qu’au niveau des Gts, il n’y a pas d’activité, mais le fait que les trains soient à l’arrêt n’est pas de la faute des travailleurs. C’est l’Etat, avec le projet du Ter, qui nous a obligés à arrêter les trains, et l’Etat s’était engagé à ce qu’on ne perde pas nos avantages», a souligné le Sg à ce sujet, pointant encore la responsabilité du Conseil d’administration. Ces travailleurs ont aussi évoqué la reprise des activités.
«Le rail a été réhabilité et le train est fonctionnel ; rien n’empêche donc les trains de circuler à nouveau», a noté M. Sall. Il s’agira à ce sujet d’une exploitation complète. «Nous exigeons la reprise du trafic ; aussi bien le trafic voyageur que le fret qui revient aux Gts», a-t-il souligné, tout en refusant de croire aux rumeurs distillant le transfèrement du fret à une autre entreprise.
