« Selon l’article 3 de la constitution, quand on annonce le report des élections locales, on doit fixer une date. Surtout si le délai de ce report sort de l’année en cours. Or, pour le report de ces élections locales, on a juste dit qu’elles ont été repoussées et que le président de la République fixera une nouvelle date », a-t-il déclaré sur la RFM.
Et de poursuivre, « ce n’est pas la prérogative du président de la République, de fixer une nouvelle date, mais celle de l’Assemblée, si le délai du report sort de l’année en cours », a-t-il dit sur la RFM.
Le report des élections locales, prévues le 1er décembre prochain, a été obtenu sur la base d’un consensus global des différents acteurs politiques, aussi bien de la majorité que de l’opposition, dans le cadre du dialogue national, ont indiqué les autorités.
Et de poursuivre, « ce n’est pas la prérogative du président de la République, de fixer une nouvelle date, mais celle de l’Assemblée, si le délai du report sort de l’année en cours », a-t-il dit sur la RFM.
Le report des élections locales, prévues le 1er décembre prochain, a été obtenu sur la base d’un consensus global des différents acteurs politiques, aussi bien de la majorité que de l’opposition, dans le cadre du dialogue national, ont indiqué les autorités.