Cet avis confirme de manière formelle, que la convention liant la Société Canal Plus Sénégal et l’Etat du Sénégal et autorisant la Société Canal Plus Sénégal à commercialiser son bouquet de programmes, n’a jamais été approuvée par décret comme la loi N° 2000-07 du 10 janvier 2000 l’exige. En conséquence, cette convention est donc illégale en Droit et ne pouvait prendre effet, encore moins s’appliquer en l’état.
Au lieu de répondre à cet avis incontestable sur sa situation délictuelle, la société Canal Plus Sénégal tente de divertir nos concitoyens et nos autorités, en réagissant de manière hautaine et condescendante dans un pays où la liberté d’expression et l’indépendance de la presse sont consacrées depuis des décennies.
De plus, le groupe EXCAF TÉLÉCOM est surpris de constater dans ce communiqué, une attaque frontale à son égard sans aucun lien avec l’objet de cet article et laissant entendre une connivence de notre part avec le journal "Libération". Notre groupe, propriétaire de deux chaînes de Télévision (RDV & DTV) et de 12 Radios (4 à Dakar et 8 en régions), n’a pas besoin d’une collusion avec un journal, pour communiquer avec le public sénégalais.
D’autant que les Avis du Comité de Règlement des Différends de l’Agence de Régulation des Marchés Publics sont publics. Le journal "Libération" comme tout autre organe de presse, peut très simplement se le procurer au nom de son droit à l’information.
En ne respectant pas nos lois en vigueur, la Société Canal Plus s’attaque en réalité à l’autorité et à la respectabilité de l’ARMP et au-delà , à l’Etat du Sénégal.
Et en mettant en avant ses investissements dans la production locale pour justifier et bénéficier de cette forme d’impunité, elle tente vainement de détourner l’attention du véritable sujet, à savoir qu’elle exploite son bouquet satellite sans autorisation depuis janvier 2006.
De notre côté, nous soutenons que cette société exerce illégalement au Sénégal et qu’elle continue de spolier les téléspectateurs sénégalais, en leur faisant payer l’accès à leurs propres chaînes nationales, contrairement aux lois et règlements en vigueur.
En tout état de cause, le Groupe EXCAF TELECOM, s’évertue depuis sa création en 1972, soit 48 ans aujourd’hui, à mener ses activités de manière professionnelle, malgré les difficultés rencontrées, pour le bénéfice exclusif des intérêts du peuple sénégalais, sans bénéficier d’aucun privilège ni verser dans des manœuvres de bas étage et tromperies.
Au lieu de répondre à cet avis incontestable sur sa situation délictuelle, la société Canal Plus Sénégal tente de divertir nos concitoyens et nos autorités, en réagissant de manière hautaine et condescendante dans un pays où la liberté d’expression et l’indépendance de la presse sont consacrées depuis des décennies.
De plus, le groupe EXCAF TÉLÉCOM est surpris de constater dans ce communiqué, une attaque frontale à son égard sans aucun lien avec l’objet de cet article et laissant entendre une connivence de notre part avec le journal "Libération". Notre groupe, propriétaire de deux chaînes de Télévision (RDV & DTV) et de 12 Radios (4 à Dakar et 8 en régions), n’a pas besoin d’une collusion avec un journal, pour communiquer avec le public sénégalais.
D’autant que les Avis du Comité de Règlement des Différends de l’Agence de Régulation des Marchés Publics sont publics. Le journal "Libération" comme tout autre organe de presse, peut très simplement se le procurer au nom de son droit à l’information.
En ne respectant pas nos lois en vigueur, la Société Canal Plus s’attaque en réalité à l’autorité et à la respectabilité de l’ARMP et au-delà , à l’Etat du Sénégal.
Et en mettant en avant ses investissements dans la production locale pour justifier et bénéficier de cette forme d’impunité, elle tente vainement de détourner l’attention du véritable sujet, à savoir qu’elle exploite son bouquet satellite sans autorisation depuis janvier 2006.
De notre côté, nous soutenons que cette société exerce illégalement au Sénégal et qu’elle continue de spolier les téléspectateurs sénégalais, en leur faisant payer l’accès à leurs propres chaînes nationales, contrairement aux lois et règlements en vigueur.
En tout état de cause, le Groupe EXCAF TELECOM, s’évertue depuis sa création en 1972, soit 48 ans aujourd’hui, à mener ses activités de manière professionnelle, malgré les difficultés rencontrées, pour le bénéfice exclusif des intérêts du peuple sénégalais, sans bénéficier d’aucun privilège ni verser dans des manœuvres de bas étage et tromperies.