« En faisant parti des signataires de la proposition de loi portant révision du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, ce camarade (Ndlr : Cheikh Seck) s’est inscrit dans une indiscipline de parti », a réagi le maire de Mermoz-Sacré Cœur, après la sortie de son camarade de parti. Ce, dans la mesure où il n’a échangé avec aucun de ses collègues députés et camarades socialistes. Il n’a eu l’aval d’aucune instance du parti. "Considérant qu’il y avait trop d’indiscipline dans Parti socialiste (Ps) avec cet acte, je me suis inscrit moi-même dans cette indiscipline pour interpeller le Directeur du Parti socialiste (Ps), pour que l’on comprenne deux choses fondamentales. Un, nous sommes un parti souverain. Deux, nous sommes un parti organisé. Par conséquent, personne n’a le droit de dire ou de faire ce qu’il veut. Sinon, cela partirait dans tous les sens. Malheureusement, je n’étais pas présent le jour du vote de la proposition de loi parce que je suis frappé par un deuil", a dit Barthélémy Dias dans les colonnes de L’As.
A en croire Barthélémy Dias, Cheikh Sarr est son grand frère. Sur beaucoup de chose, ils sont en phase. Mais, il ne peut pas comprendre qu’il soit signataire, dit-il, d’une proposition de loi qui n’a pas été discutée dans aucune des instances du parti. "Nous avons été mis devant le fait accompli. En outre, cette proposition de loi est inopportune. Les priorités des Sénégalais ont pour noms : eau, électricité, emploi. Les députés socialistes ne doivent pas perdre de vue cela. Nous devons avoir l’humilité de reconnaître que nous ne jouons pas pleinement notre rôle à l’Assemblée nationale. S’agissant de cette proposition de loi, je ne suis pas d’accord avec le retour du mandat du président de l’Assemblée à cinq ans. La parité est encore discutable parce qu’il n’y a pas des clauses constitutionnelles qui rendent la parité antidémocratique et anticonstitutionnelle. Mais vouloir remettre en cause le droit d’association à l’Assemblée nationale, ce n’est pas républicain.", a martelé Dias-fils
A en croire Barthélémy Dias, Cheikh Sarr est son grand frère. Sur beaucoup de chose, ils sont en phase. Mais, il ne peut pas comprendre qu’il soit signataire, dit-il, d’une proposition de loi qui n’a pas été discutée dans aucune des instances du parti. "Nous avons été mis devant le fait accompli. En outre, cette proposition de loi est inopportune. Les priorités des Sénégalais ont pour noms : eau, électricité, emploi. Les députés socialistes ne doivent pas perdre de vue cela. Nous devons avoir l’humilité de reconnaître que nous ne jouons pas pleinement notre rôle à l’Assemblée nationale. S’agissant de cette proposition de loi, je ne suis pas d’accord avec le retour du mandat du président de l’Assemblée à cinq ans. La parité est encore discutable parce qu’il n’y a pas des clauses constitutionnelles qui rendent la parité antidémocratique et anticonstitutionnelle. Mais vouloir remettre en cause le droit d’association à l’Assemblée nationale, ce n’est pas républicain.", a martelé Dias-fils