A la suite d’un article m'attribuant une requête de contrainte par corps que m'aurait infligée le Procureur près le Tribunal de Grande instance hors classe de Dakar, je viens par la présente, apporter mon droit de réponse, que j'adresse plus particulièrement à ceux qui pensaient me faire coffrer en prison, pour que je ne sois plus éligible dans le Basket. Ils peuvent déchanter...
Le 16 Janvier 2014, le Tribunal régional de Dakar m'avait jugé coupable de menaces, de violences ou voies de fait et de diffamation contre la personne de Monsieur Aziz Samb. Mais, je dois préciser à l'endroit de vos lecteurs, qu'un premier jugement m'opposant à Monsieur Aziz Samb, avait condamné mon protagoniste à me payer la somme de 5 millions FCfa.
Ce procès était mené par mon avocat d'alors, Feu Maître Khassimou Touré. Donc, c’est en appel que le Tribunal hors classe de Dakar nous avait condamnés, le journaliste Ndiassé Samb et moi, à payer à M. Samb, la somme de 10 millions. Alors que mon avocat n'était plus de ce monde et son cabinet fermé.
Entre-temps, mon oncle Gorgui Diagana, Directeur de l'école Clémenceau que tout le monde connaissait, frère utérin de ma mère et ancien maître d'école de Monsieur Aziz Samb, nous avait priés de laisser tomber les poursuites et de passer l'éponge. Ce que j'avais accepté de bon gré. Puisque, cela émanait d'un oncle. Et je croyais que du côté de Monsieur Samb aussi, il en était ainsi. Et depuis 2014, ce dossier ne m'était plus revenu. C'est pourquoi, j'ai été surpris de le revoir sur la place publique, après tout ce temps. Après que Maître Khassimou Touré et mon oncle Gorgui Diagana ne soient plus de ce monde. C'est comme s'il y avait une main malintentionnée qui cherchait vaille que vaille, à me faire condamner et à me jeter à la vindicte populaire. Loin des terrains de basket.
Les faits relatés par la presse et les échos qui me parvenaient quelques jours auparavant, viennent prouver que c'était bien un coup fourré qui m'était destiné. Certains sites sont même allés jusqu'à me "localiser" à Rebeuss. Comble de mensonge ! Il n'en est rien. Je n'ai subi ni remontrances, ni rappel à l'ordre, encore moins un défèrement de la part de la Magistrature de mon pays.
La vérité est très simple : Moi, Baba Tandian, je défendais le Basket national. C'est ce qui m'a valu tout ça. Je ne pouvais pas admettre que le stadium Maruis Ndiaye soit laissé entre les mains de danseurs ( Oscars des Vacances), alors que le championnat peinait à se derouler normalement. Ce stadium, c'est pour le Basket et peut-être, pour les autres disciplines sportives organisées en salle et non pour la danse. C'est ce que je voulais faire comprendre à l'époque à M. Aziz Samb, peut-être, sur un ton qui ne lui avait pas plu. Voilà les raisons de ma condamnation.
Les commanditaires de ce coup foiré, dans leur soif de vengeance, ont même oublié que nous étions deux à être condamnés. Alors pourquoi, jai été le seul à être convoqué ? Mais, ils ne perdent rien pour attendre. Je continuerai à mener le combat de la réhabilitation du basket de mon pays à l'agonie, par la faute de ses dirigeants actuels. Ils peuvent me chercher des poux. Jamais, ils ne les tueront sur ma tête.
Le 16 Janvier 2014, le Tribunal régional de Dakar m'avait jugé coupable de menaces, de violences ou voies de fait et de diffamation contre la personne de Monsieur Aziz Samb. Mais, je dois préciser à l'endroit de vos lecteurs, qu'un premier jugement m'opposant à Monsieur Aziz Samb, avait condamné mon protagoniste à me payer la somme de 5 millions FCfa.
Ce procès était mené par mon avocat d'alors, Feu Maître Khassimou Touré. Donc, c’est en appel que le Tribunal hors classe de Dakar nous avait condamnés, le journaliste Ndiassé Samb et moi, à payer à M. Samb, la somme de 10 millions. Alors que mon avocat n'était plus de ce monde et son cabinet fermé.
Entre-temps, mon oncle Gorgui Diagana, Directeur de l'école Clémenceau que tout le monde connaissait, frère utérin de ma mère et ancien maître d'école de Monsieur Aziz Samb, nous avait priés de laisser tomber les poursuites et de passer l'éponge. Ce que j'avais accepté de bon gré. Puisque, cela émanait d'un oncle. Et je croyais que du côté de Monsieur Samb aussi, il en était ainsi. Et depuis 2014, ce dossier ne m'était plus revenu. C'est pourquoi, j'ai été surpris de le revoir sur la place publique, après tout ce temps. Après que Maître Khassimou Touré et mon oncle Gorgui Diagana ne soient plus de ce monde. C'est comme s'il y avait une main malintentionnée qui cherchait vaille que vaille, à me faire condamner et à me jeter à la vindicte populaire. Loin des terrains de basket.
Les faits relatés par la presse et les échos qui me parvenaient quelques jours auparavant, viennent prouver que c'était bien un coup fourré qui m'était destiné. Certains sites sont même allés jusqu'à me "localiser" à Rebeuss. Comble de mensonge ! Il n'en est rien. Je n'ai subi ni remontrances, ni rappel à l'ordre, encore moins un défèrement de la part de la Magistrature de mon pays.
La vérité est très simple : Moi, Baba Tandian, je défendais le Basket national. C'est ce qui m'a valu tout ça. Je ne pouvais pas admettre que le stadium Maruis Ndiaye soit laissé entre les mains de danseurs ( Oscars des Vacances), alors que le championnat peinait à se derouler normalement. Ce stadium, c'est pour le Basket et peut-être, pour les autres disciplines sportives organisées en salle et non pour la danse. C'est ce que je voulais faire comprendre à l'époque à M. Aziz Samb, peut-être, sur un ton qui ne lui avait pas plu. Voilà les raisons de ma condamnation.
Les commanditaires de ce coup foiré, dans leur soif de vengeance, ont même oublié que nous étions deux à être condamnés. Alors pourquoi, jai été le seul à être convoqué ? Mais, ils ne perdent rien pour attendre. Je continuerai à mener le combat de la réhabilitation du basket de mon pays à l'agonie, par la faute de ses dirigeants actuels. Ils peuvent me chercher des poux. Jamais, ils ne les tueront sur ma tête.