L’Etat du Sénégal aurait essuyé un échec devant son bras de fer avec la Gambie. C’est du moins la conviction du syndicaliste routier, Alassane Ndoye. Le député affirme, d'après Grand Place, que les autorités du pays ont levé le blocus sans avoir trouvé auparavant des accords avec leurs homologues gambiennes. Aussi, appelle-t-il les membres de son syndicat à maintenir le boycott jusqu’à nouvel ordre.
M. Ndoye pense que les dirigeants du pays ont capitulé devant l’homme fort de la Gambie. « Aucun accord n’a été trouvé. Sinon le retour à la normale du montant initial des tarifs d’enregistrement, c’est-à -dire de 400 francs à 400 000 mile francs. D’où notre mot d’ordre de continuer le boycott jusqu’à nouvel ordre. 5 points non moins important contenus dans le procès-verbal sont toujours en suspens. On apprend que la réouverture a été l’œuvre des autorités sénégalaises. Cela a été fait à notre insu. Alors que nous avons fermé les frontières », a déclaré, hier, le parlementaire syndicaliste.
Outre le maintien du boycott de la traversée du fleuve de la Gambie, les camarades du syndicaliste ont déploré leurs difficiles conditions de travail dans la gare routière des Beaux Maraîchers. Ils ont menacé de descendre dans la rue le mois prochain pour contester les mesures en violation des règlements et lois du pays. « Si nos préoccupations ne sont pas résolues, nous allons sortir nos véhicules le 6 juin prochain pour les immobiliser dans les artères de Pikine. Notre mouvement d’humeur consiste à barrer et paralyser le trafic routier. Il faut que les autorités étatiques règlent les problèmes dans la gare. Notamment la question des maraudages, des camions en stationnement depuis un mois avant de prendre le départ », ont-t-ils affirmé.
M. Ndoye pense que les dirigeants du pays ont capitulé devant l’homme fort de la Gambie. « Aucun accord n’a été trouvé. Sinon le retour à la normale du montant initial des tarifs d’enregistrement, c’est-à -dire de 400 francs à 400 000 mile francs. D’où notre mot d’ordre de continuer le boycott jusqu’à nouvel ordre. 5 points non moins important contenus dans le procès-verbal sont toujours en suspens. On apprend que la réouverture a été l’œuvre des autorités sénégalaises. Cela a été fait à notre insu. Alors que nous avons fermé les frontières », a déclaré, hier, le parlementaire syndicaliste.
Outre le maintien du boycott de la traversée du fleuve de la Gambie, les camarades du syndicaliste ont déploré leurs difficiles conditions de travail dans la gare routière des Beaux Maraîchers. Ils ont menacé de descendre dans la rue le mois prochain pour contester les mesures en violation des règlements et lois du pays. « Si nos préoccupations ne sont pas résolues, nous allons sortir nos véhicules le 6 juin prochain pour les immobiliser dans les artères de Pikine. Notre mouvement d’humeur consiste à barrer et paralyser le trafic routier. Il faut que les autorités étatiques règlent les problèmes dans la gare. Notamment la question des maraudages, des camions en stationnement depuis un mois avant de prendre le départ », ont-t-ils affirmé.