Sénégal Mines est une société minière spécialisée dans l’exploitation de l’attapulgite (argile) sur une surface 218 hectares, répartie en lots (A et B). «L’exploitation du lot A étant arrivée à terme, l’usine se projette sur la phase d’exploitation du lot B. Le lot de conséquences dévastatrices observées durant la première phase d’exploitation, a fini par convaincre l’ensemble de populations locales qu’un renouvellement du contrat équivaudrait à sacrifier les générations actuelles et futures au profit d’intérêt de particuliers».
Cette association trouve incompréhensible de laisser perdurer «un tel chaos environnemental en ce 21e siècle, où tous les pays du monde entier multiplient leurs efforts pour l’atteinte des Objectifs de développement durable (Odd). Au moment où les défis environnementaux sont au cœur de toutes les préoccupations, des projets de villes vertes et écologiques n’ont eu d’autres choix que de se délocaliser car ne pouvant cohabiter avec pollution générée par l’activité de Sénégal Mines».
Pour cette association, la société «favorise la prévalence de maladie respiratoire chez les populations. Au moment où l’on cherche à préserver la vie marine et les écosystèmes marins, la lagune de Mbodiène se meurt de l’action des sédiments du calcaire déversé par Sénégal Mines. Au moment le chômage et la pauvreté sévissent dans la localité, l’usine implantée sur les terres autrefois exploitées par les populations n’emploie qu’une soixantaine de personnes». Elle appelle les autorités à préserver leur bien-être.
Bes Bi
Cette association trouve incompréhensible de laisser perdurer «un tel chaos environnemental en ce 21e siècle, où tous les pays du monde entier multiplient leurs efforts pour l’atteinte des Objectifs de développement durable (Odd). Au moment où les défis environnementaux sont au cœur de toutes les préoccupations, des projets de villes vertes et écologiques n’ont eu d’autres choix que de se délocaliser car ne pouvant cohabiter avec pollution générée par l’activité de Sénégal Mines».
Pour cette association, la société «favorise la prévalence de maladie respiratoire chez les populations. Au moment où l’on cherche à préserver la vie marine et les écosystèmes marins, la lagune de Mbodiène se meurt de l’action des sédiments du calcaire déversé par Sénégal Mines. Au moment le chômage et la pauvreté sévissent dans la localité, l’usine implantée sur les terres autrefois exploitées par les populations n’emploie qu’une soixantaine de personnes». Elle appelle les autorités à préserver leur bien-être.
Bes Bi