M. Alioune Sall, Ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, a ouvert la discussion, en soulignant le rôle capital des médias dans la préservation de l'intégrité de l'information, en particulier dans le cadre des processus démocratiques. Il a salué le travail essentiel des journalistes dans la diffusion d'informations vérifiées et dans la lutte contre la désinformation et les discours de haine, qui menacent les fondements même des sociétés démocratiques.
Le ministre a également mis en avant l'initiative de la loi sur la protection des lanceurs d'alerte, une mesure cruciale pour garantir la sécurité des sources d'information et favoriser un paysage médiatique libre et pluraliste. Cette initiative témoigne de l'engagement du gouvernement sénégalais, à promouvoir une presse indépendante et responsable, capable de jouer son rôle de pilier essentiel de la démocratie.
Des acteurs clés, unis pour un objectif commun
La Journée de réflexion a réuni des représentants de haut niveau d'organisations internationales telles que le Haut-Commissariat des Nations unies aux Droits de l'Homme et le Centre d'information des Nations unies. Ces intervenants ont apporté leur expertise et leur perspective, sur les défis et les opportunités liés à l'intégrité de l'information, dans le contexte numérique africain.
Les organisations de la société civile, représentées par la CAP, la CJRS et l'AFMS, ont également joué un rôle crucial dans la discussion. Elles ont partagé leurs expériences et leurs préoccupations concernant la lutte contre la désinformation et la promotion d'une culture médiatique responsable et inclusive.
Un dialogue constructif pour une action collective
La Journée de réflexion a permis de dresser un état des lieux des enjeux liés à l'intégrité de l'information au Sénégal et dans la région de l'Afrique de l'Ouest. Les échanges ont mis en évidence, la nécessité d'une collaboration renforcée entre les acteurs gouvernementaux, les médias, la société civile et les organisations internationales, pour relever ces défis.
Des pistes d'actions concrètes ont été identifiées, notamment:
- Renforcer les capacités des médias en matière de vérification des faits, de journalisme d'investigation et de lutte contre la désinformation.
- Soutenir l'éducation aux médias et le développement d'un esprit critique chez les citoyens, en particulier chez les jeunes.
- Promouvoir des plateformes d'information fiables et accessibles à tous.
- Lutter contre les discours de haine et les contenus préjudiciables en ligne.
- Mettre en œuvre des politiques publiques favorables à l'intégrité de l'information et à la liberté d'expression.
La Journée de réflexion de Dakar a constitué une étape importante dans la réflexion collective sur l'intégrité de l'information dans un monde numérique. Les engagements pris et les actions identifiées, permettront de jeter les bases d'un environnement informationnel plus sain, plus transparent et plus favorable à la démocratie et au développement durable en Afrique de l'Ouest.
La Journée de réflexion de Dakar a réaffirmé l'importance de l'intégrité de l'information dans l'ère numérique et a souligné la nécessité d'une action collective, pour relever les défis croissants liés à la désinformation et aux discours de haine. Les engagements pris et les actions identifiées lors de cette rencontre, constituent une étape importante vers un avenir où l'information fiable et accessible est au cœur du développement durable et de la bonne gouvernance.
Le ministre a également mis en avant l'initiative de la loi sur la protection des lanceurs d'alerte, une mesure cruciale pour garantir la sécurité des sources d'information et favoriser un paysage médiatique libre et pluraliste. Cette initiative témoigne de l'engagement du gouvernement sénégalais, à promouvoir une presse indépendante et responsable, capable de jouer son rôle de pilier essentiel de la démocratie.
Des acteurs clés, unis pour un objectif commun
La Journée de réflexion a réuni des représentants de haut niveau d'organisations internationales telles que le Haut-Commissariat des Nations unies aux Droits de l'Homme et le Centre d'information des Nations unies. Ces intervenants ont apporté leur expertise et leur perspective, sur les défis et les opportunités liés à l'intégrité de l'information, dans le contexte numérique africain.
Les organisations de la société civile, représentées par la CAP, la CJRS et l'AFMS, ont également joué un rôle crucial dans la discussion. Elles ont partagé leurs expériences et leurs préoccupations concernant la lutte contre la désinformation et la promotion d'une culture médiatique responsable et inclusive.
Un dialogue constructif pour une action collective
La Journée de réflexion a permis de dresser un état des lieux des enjeux liés à l'intégrité de l'information au Sénégal et dans la région de l'Afrique de l'Ouest. Les échanges ont mis en évidence, la nécessité d'une collaboration renforcée entre les acteurs gouvernementaux, les médias, la société civile et les organisations internationales, pour relever ces défis.
Des pistes d'actions concrètes ont été identifiées, notamment:
- Renforcer les capacités des médias en matière de vérification des faits, de journalisme d'investigation et de lutte contre la désinformation.
- Soutenir l'éducation aux médias et le développement d'un esprit critique chez les citoyens, en particulier chez les jeunes.
- Promouvoir des plateformes d'information fiables et accessibles à tous.
- Lutter contre les discours de haine et les contenus préjudiciables en ligne.
- Mettre en œuvre des politiques publiques favorables à l'intégrité de l'information et à la liberté d'expression.
La Journée de réflexion de Dakar a constitué une étape importante dans la réflexion collective sur l'intégrité de l'information dans un monde numérique. Les engagements pris et les actions identifiées, permettront de jeter les bases d'un environnement informationnel plus sain, plus transparent et plus favorable à la démocratie et au développement durable en Afrique de l'Ouest.
La Journée de réflexion de Dakar a réaffirmé l'importance de l'intégrité de l'information dans l'ère numérique et a souligné la nécessité d'une action collective, pour relever les défis croissants liés à la désinformation et aux discours de haine. Les engagements pris et les actions identifiées lors de cette rencontre, constituent une étape importante vers un avenir où l'information fiable et accessible est au cœur du développement durable et de la bonne gouvernance.