D’après le quotidien Bes Bi, lors de cette rencontre, le député Abdou Mbow a soulevé la question du parrainage en cas de dissolution de l’Assemblée nationale.
Il a affirmé : « Au Sénégal, j’ai toujours soutenu que notre problème n’est pas le système électoral en lui-même, mais plutôt son organisation et les hommes qui le mettent en œuvre. Lors de la dernière élection présidentielle, nous avons observé des dysfonctionnements, des reports, et une réduction du délai de la campagne électorale par le Conseil constitutionnel. Il est crucial que des mesures soient prises pour les élections à venir. »
Mbow a également exprimé ses inquiétudes quant à une possible dissolution de l’Assemblée nationale par le Président Diomaye Faye. « La loi stipule que, en cas de dissolution, la date de l’élection doit être fixée entre 60 et 90 jours. Cependant, bien que la loi maintienne la caution dans ce contexte, elle reste silencieuse sur la question du parrainage. C’est pourquoi un accord sur cette question est essentiel », a-t-il souligné.
Le président du groupe Yewwi Askan Wi, Ayib Daffé, a également salué l'initiative de la société civile, visant à améliorer le système électoral. « Cet atelier se tient dans un contexte post-électoral marqué par l’élection au premier tour du Président Bassirou Diomaye Faye. Les dysfonctionnements observés durant cette élection présidentielle exigent des solutions structurelles pour renforcer la démocratie et l’état de droit », a-t-il affirmé.
Selon toujours le journal, Moundiaye Cissé, Président de l’Ong 3D, a rappelé les « dysfonctionnements » et les « faiblesses » relevés lors des trois dernières élections (Locales, Législatives et Présidentielle). Il a insisté sur la nécessité pour la société civile d’engager un dialogue avec toutes les parties prenantes, dans une démarche de coproduction d’un livre blanc pour identifier des pistes de solutions. Selon lui, cet atelier a également permis de renforcer les liens entre les acteurs politiques et d’instaurer un dialogue indispensable à l’établissement d’un système électoral performant.
Il a affirmé : « Au Sénégal, j’ai toujours soutenu que notre problème n’est pas le système électoral en lui-même, mais plutôt son organisation et les hommes qui le mettent en œuvre. Lors de la dernière élection présidentielle, nous avons observé des dysfonctionnements, des reports, et une réduction du délai de la campagne électorale par le Conseil constitutionnel. Il est crucial que des mesures soient prises pour les élections à venir. »
Mbow a également exprimé ses inquiétudes quant à une possible dissolution de l’Assemblée nationale par le Président Diomaye Faye. « La loi stipule que, en cas de dissolution, la date de l’élection doit être fixée entre 60 et 90 jours. Cependant, bien que la loi maintienne la caution dans ce contexte, elle reste silencieuse sur la question du parrainage. C’est pourquoi un accord sur cette question est essentiel », a-t-il souligné.
Le président du groupe Yewwi Askan Wi, Ayib Daffé, a également salué l'initiative de la société civile, visant à améliorer le système électoral. « Cet atelier se tient dans un contexte post-électoral marqué par l’élection au premier tour du Président Bassirou Diomaye Faye. Les dysfonctionnements observés durant cette élection présidentielle exigent des solutions structurelles pour renforcer la démocratie et l’état de droit », a-t-il affirmé.
Selon toujours le journal, Moundiaye Cissé, Président de l’Ong 3D, a rappelé les « dysfonctionnements » et les « faiblesses » relevés lors des trois dernières élections (Locales, Législatives et Présidentielle). Il a insisté sur la nécessité pour la société civile d’engager un dialogue avec toutes les parties prenantes, dans une démarche de coproduction d’un livre blanc pour identifier des pistes de solutions. Selon lui, cet atelier a également permis de renforcer les liens entre les acteurs politiques et d’instaurer un dialogue indispensable à l’établissement d’un système électoral performant.