Améliorations clés apportées au contrat
La renégociation a permis d’ajuster plusieurs aspects cruciaux, notamment le nombre de villages concernés par le projet. En effet, après une réévaluation des besoins, le nombre de localités à électrifier est passé de 1 500 à 1 740, témoignant de la volonté d'élargir la portée du programme. Parmi les autres ajustements notables figure une révision du bordereau de prix, favorisant une meilleure allocation des ressources.
Renforcement des compétences locales
Une autre avancée significative concerne le transfert de compétences. Le projet intégrera désormais un volet de formation en alternance pour de jeunes étudiants et élèves ingénieurs sénégalais. Cela permettra de renforcer les capacités locales dans tous les corps de métiers liés au secteur de l’électrification. Cette initiative vise à encourager l'appropriation nationale du projet à travers le développement d'une expertise technique locale.
Structuration institutionnelle et gestion du projet
L'ASER a également pris des mesures pour améliorer la gestion du projet. Une nouvelle unité de gestion sera mise en place afin d’assurer une coordination efficace entre les différentes parties prenantes, telles que l'ASER, Senelec, et le ministère de tutelle. Cet appui institutionnel renforcé vise à garantir une mise en œuvre fluide et à surmonter les obstacles administratifs potentiels.
Inclusions spécifiques et contenu local
Parmi les points saillants de cette renégociation figure l'intégration de l'électrification de l'île de Carabane, symbole de l'extension du projet à des zones insulaires souvent négligées. De plus, 50 % du contenu du projet sera d'origine locale, conformément aux plafonds autorisés par l'OCDE dans le cadre d'un financement par crédit acheteur. Cette mesure soutient l'économie locale en favorisant l’implication des entreprises sénégalaises dans l'exécution du projet.
Extension des délais
En raison des récents changements à la direction de l'ASER, un délai supplémentaire de trois mois a été accordé pour la finalisation des travaux, au-delà du délai initialement convenu. Cela permet d’adapter la dynamique du projet aux nouvelles orientations stratégiques tout en garantissant une exécution rigoureuse des engagements contractuels.
Avec ces ajustements, l'ASER réaffirme son engagement à accélérer l'accès à l'électricité pour les populations rurales, contribuant ainsi de manière significative au développement économique et social du Sénégal.
La renégociation a permis d’ajuster plusieurs aspects cruciaux, notamment le nombre de villages concernés par le projet. En effet, après une réévaluation des besoins, le nombre de localités à électrifier est passé de 1 500 à 1 740, témoignant de la volonté d'élargir la portée du programme. Parmi les autres ajustements notables figure une révision du bordereau de prix, favorisant une meilleure allocation des ressources.
Renforcement des compétences locales
Une autre avancée significative concerne le transfert de compétences. Le projet intégrera désormais un volet de formation en alternance pour de jeunes étudiants et élèves ingénieurs sénégalais. Cela permettra de renforcer les capacités locales dans tous les corps de métiers liés au secteur de l’électrification. Cette initiative vise à encourager l'appropriation nationale du projet à travers le développement d'une expertise technique locale.
Structuration institutionnelle et gestion du projet
L'ASER a également pris des mesures pour améliorer la gestion du projet. Une nouvelle unité de gestion sera mise en place afin d’assurer une coordination efficace entre les différentes parties prenantes, telles que l'ASER, Senelec, et le ministère de tutelle. Cet appui institutionnel renforcé vise à garantir une mise en œuvre fluide et à surmonter les obstacles administratifs potentiels.
Inclusions spécifiques et contenu local
Parmi les points saillants de cette renégociation figure l'intégration de l'électrification de l'île de Carabane, symbole de l'extension du projet à des zones insulaires souvent négligées. De plus, 50 % du contenu du projet sera d'origine locale, conformément aux plafonds autorisés par l'OCDE dans le cadre d'un financement par crédit acheteur. Cette mesure soutient l'économie locale en favorisant l’implication des entreprises sénégalaises dans l'exécution du projet.
Extension des délais
En raison des récents changements à la direction de l'ASER, un délai supplémentaire de trois mois a été accordé pour la finalisation des travaux, au-delà du délai initialement convenu. Cela permet d’adapter la dynamique du projet aux nouvelles orientations stratégiques tout en garantissant une exécution rigoureuse des engagements contractuels.
Avec ces ajustements, l'ASER réaffirme son engagement à accélérer l'accès à l'électricité pour les populations rurales, contribuant ainsi de manière significative au développement économique et social du Sénégal.