Les membres de l'Union centriste du Sénégal, formation politique d'Abdoulaye Baldé, à l'instar des autres partis politiques, se sont réunis pour faire une communication globale sur le contenu des 15 points que renferme le projet de réforme constitutionnelle. Dans un communiqué dont Leral a reçu copie, ils disent avoir soulevé des manquement dans ledit projet.
Ils ont, en outre, indiqué que, malgré l'invite de leur leader au Président Sall d’associer la classe politique et les organisations de la société civile pour rendre le jeu politique inclusif et transparent, ce dernier, "malgré sa promesse d'associer celle-ci, a finalement foulé au pieds cette ultime promesse en menant sa réforme des institutions sans consulter les différents acteurs politiques et la société civile comme cela se fait dans toutes les démocraties majeures", indique-t-on dans le document.
Par ailleurs, "l’Union Centriste du Sénégal pense que le référendum reste, pour l’heure, inutile sachant que l’Etat est confronté à de multiples attentes des populations jusqu’ici insatisfaites notamment l’éducation, la santé, l’emploi des jeunes...".
Consients "qu’aucune disposition constitutionnelle ou législative ne s’oppose à l’adoption des quatorze (14) points restants par voie parlementaire", les camarades du maire de Ziguinchor invitent le président de la République à renoncer à son référendum convoqué le 20 mars prochain. Et si, toutefois, le président de la République "insiste sur sa position d’organiser ledit référendum", l’Union Centriste du Sénégal "fera face en appelant à voter massivement « Non » le jour du scrutin", promettent-ils dans le document.
Ils ont, en outre, indiqué que, malgré l'invite de leur leader au Président Sall d’associer la classe politique et les organisations de la société civile pour rendre le jeu politique inclusif et transparent, ce dernier, "malgré sa promesse d'associer celle-ci, a finalement foulé au pieds cette ultime promesse en menant sa réforme des institutions sans consulter les différents acteurs politiques et la société civile comme cela se fait dans toutes les démocraties majeures", indique-t-on dans le document.
Par ailleurs, "l’Union Centriste du Sénégal pense que le référendum reste, pour l’heure, inutile sachant que l’Etat est confronté à de multiples attentes des populations jusqu’ici insatisfaites notamment l’éducation, la santé, l’emploi des jeunes...".
Consients "qu’aucune disposition constitutionnelle ou législative ne s’oppose à l’adoption des quatorze (14) points restants par voie parlementaire", les camarades du maire de Ziguinchor invitent le président de la République à renoncer à son référendum convoqué le 20 mars prochain. Et si, toutefois, le président de la République "insiste sur sa position d’organiser ledit référendum", l’Union Centriste du Sénégal "fera face en appelant à voter massivement « Non » le jour du scrutin", promettent-ils dans le document.