Une promesse est une dette, dit l’adage. Le président de l’Association internationale des Fédérations d’athlétisme (IAAF), Lamine Diack a tenu à le rappeler au président de la République du Sénégal, Macky Sall, qui avait dans l’entre-deux-tours, promis aux jeunes de Rebeuss de réfection le stade Assane Diouf que l’ancien président Wade avait commencé à démolir pour y ériger un centre d’affaires dénommé Kawsara.
«Je retiens que le stade Assane Diouf sera réfectionné. Cela faisait partie des promesses de campagne du président Macky Sall, attendons de voir», a déclaré le patron de l’athlétisme mondial, venu présider hier, mardi 7 avril, le lancement de la session de formation sur le kid’s athletics, au salon d’honneur du stade Léopold Sédar Senghor.
Et l’ancien ministre des Sports, maire de Dakar d’ajouter : «certains stades régionaux ont été remis en état mais cela n’est pas suffisant. Il faut remettre en état les terrains des établissements scolaires tels que les lycées Blaise Ndiaye, Delafosse, Lamine Guèye pour permettre aux élèves de mieux pratiquer le sport à l’école».
Alors que le gouvernement peine à réaliser la promesse que Macky Sall avait tenue dans l’entre-deux-tours, à savoir porter le budget du département des sports à 1% du budget national, le président Lamine Diack estime que pour «mieux manager notre sport, nos autorités étatiques doivent multiplier le budget par 3 pour avancer».
C’est la seule voie du salut, semble dire le président de l’IAAF qui a pris l’exemple des Caraïbes pour illustrer ses propos. «Les Caraïbes organisent depuis des années les Caraïbes Games. Ce sont des compétitions réservées aux jeunes de 13 à 18 ans. Durant les fêtes de Pâques les Caraïbes en profitent pour sortir des champions. Et c’est là qu’est sortie Usain Bolt (le Jamaïcain est champion du monde et olympique, sur 100 et 200 mètres, recordman du monde et olympique sur les deux distances, Ndlr)», fait savoir le patron de l’athlétisme mondial.
Développer les habiletés motrices chez l’enfant dans le domaine de l’athlétisme
Par ailleurs, il faut que la Conférence des ministres de la jeunesse et des sports de la Francophonie (Confejes) en partenariat avec l’IAAF et les ministères des sports et de l’éducation nationale a procédé au lancement du kid’s athletics.
« Ce programme éducatif, dira Ibrahima Diao, un des experts de la formation, a pour objectif principal d’aider les enfants à développer leurs habiletés motrices dans le domaine de l’athlétisme».
«Son objectif principal, ajoute-t-il, est d’aider les enfants à développer leurs habiletés motrices dans le domaine de l’athlétisme. Il ne s’agit point de détecter des talents, ni de rendre ceux-ci performants, mais, de proposer des épreuves axées sur les besoins liés au développement de l’enfant». Quant au directeur de l’Institut national de l’éducation populaire et du sport (Inseps), il soutient que «ce programme va régler 50% de la problématique de l’éducation physique à l’école».
«L’objectif principal est d’aider les enfants à développer leurs habiletés motrices dans le domaine de l’athlétisme», a soutenu Djibril Seck.
La Confejes immortalise Diack
A noter aussi l’institutionnalisation de la médaille Lamine Diack. Le Secrétaire général de l’Inseps dira que c’est pour magnifier le «parcours exceptionnel» du président de l’IAAF.
Sud Quotidien
«Je retiens que le stade Assane Diouf sera réfectionné. Cela faisait partie des promesses de campagne du président Macky Sall, attendons de voir», a déclaré le patron de l’athlétisme mondial, venu présider hier, mardi 7 avril, le lancement de la session de formation sur le kid’s athletics, au salon d’honneur du stade Léopold Sédar Senghor.
Et l’ancien ministre des Sports, maire de Dakar d’ajouter : «certains stades régionaux ont été remis en état mais cela n’est pas suffisant. Il faut remettre en état les terrains des établissements scolaires tels que les lycées Blaise Ndiaye, Delafosse, Lamine Guèye pour permettre aux élèves de mieux pratiquer le sport à l’école».
Alors que le gouvernement peine à réaliser la promesse que Macky Sall avait tenue dans l’entre-deux-tours, à savoir porter le budget du département des sports à 1% du budget national, le président Lamine Diack estime que pour «mieux manager notre sport, nos autorités étatiques doivent multiplier le budget par 3 pour avancer».
C’est la seule voie du salut, semble dire le président de l’IAAF qui a pris l’exemple des Caraïbes pour illustrer ses propos. «Les Caraïbes organisent depuis des années les Caraïbes Games. Ce sont des compétitions réservées aux jeunes de 13 à 18 ans. Durant les fêtes de Pâques les Caraïbes en profitent pour sortir des champions. Et c’est là qu’est sortie Usain Bolt (le Jamaïcain est champion du monde et olympique, sur 100 et 200 mètres, recordman du monde et olympique sur les deux distances, Ndlr)», fait savoir le patron de l’athlétisme mondial.
Développer les habiletés motrices chez l’enfant dans le domaine de l’athlétisme
Par ailleurs, il faut que la Conférence des ministres de la jeunesse et des sports de la Francophonie (Confejes) en partenariat avec l’IAAF et les ministères des sports et de l’éducation nationale a procédé au lancement du kid’s athletics.
« Ce programme éducatif, dira Ibrahima Diao, un des experts de la formation, a pour objectif principal d’aider les enfants à développer leurs habiletés motrices dans le domaine de l’athlétisme».
«Son objectif principal, ajoute-t-il, est d’aider les enfants à développer leurs habiletés motrices dans le domaine de l’athlétisme. Il ne s’agit point de détecter des talents, ni de rendre ceux-ci performants, mais, de proposer des épreuves axées sur les besoins liés au développement de l’enfant». Quant au directeur de l’Institut national de l’éducation populaire et du sport (Inseps), il soutient que «ce programme va régler 50% de la problématique de l’éducation physique à l’école».
«L’objectif principal est d’aider les enfants à développer leurs habiletés motrices dans le domaine de l’athlétisme», a soutenu Djibril Seck.
La Confejes immortalise Diack
A noter aussi l’institutionnalisation de la médaille Lamine Diack. Le Secrétaire général de l’Inseps dira que c’est pour magnifier le «parcours exceptionnel» du président de l’IAAF.
Sud Quotidien