La volonté du Président Macky Sall de soumettre la question de la réduction de son mandat à l’Assemblée nationale et au Conseil constitutionnel n’est pas partagée par la Jeunesse pour la démocratique et le socialisme. Pour la Jds, le Président Macky Sall ne fait qu’accentuer le flou déjà persistant sur la durée de son mandat. « La date du référendum reste toujours un mystère, alors que tous les Sénégalais l’attendaient avec impatience pour se faire une religion sur ce sujet », soutiennent Babacar Diop et ses camarades dans les colonnes du Populaire.
A les en croire, le chef de l’Etat s’est engouffré dans un imbroglio procédural pour pouvoir justifier l’éventualité d’une impossibilité de réduire le mandat de 7 à 5 ans avec effet rétroactif. « Il lui revient de trouver les voies et moyens pour honorer son engagement et matérialiser sa volonté », fait remarquer la Jds.
Selon Babacar Diop et compagnie, tous les juristes de bonne foi sont tombés d’accord sur le fait que l’avis du Conseil constitutionnel en la matière est un avis consultatif et non un avis conforme. « La question n’est pas juridique, elle est éminemment politique », fulmine-t-ils avant de s'interroger : « Que vaut l’avis du Conseil constitutionnel devant la volonté populaire ».
Rappelant que le peuple est le seul titulaire de la souveraineté du fait que sa volonté fait la loi », la Jds demande au président de la République de « respecter sa parole » et de « soumettre son projet de réduire son mandat au référendum avec effet rétroactif ». Sinon, la Jeunesse pour la démocratie et le socialisme compte faire appel à l’arbitrage de la rue. « Le peuple occupera les rues de toutes les villes, comme ce fut le cas lors des événements du 23 juin 2011, pour imposer sa volonté. Macky Sall doit choisir entre le référendum ou la rue », prévient-elle.
A les en croire, le chef de l’Etat s’est engouffré dans un imbroglio procédural pour pouvoir justifier l’éventualité d’une impossibilité de réduire le mandat de 7 à 5 ans avec effet rétroactif. « Il lui revient de trouver les voies et moyens pour honorer son engagement et matérialiser sa volonté », fait remarquer la Jds.
Selon Babacar Diop et compagnie, tous les juristes de bonne foi sont tombés d’accord sur le fait que l’avis du Conseil constitutionnel en la matière est un avis consultatif et non un avis conforme. « La question n’est pas juridique, elle est éminemment politique », fulmine-t-ils avant de s'interroger : « Que vaut l’avis du Conseil constitutionnel devant la volonté populaire ».
Rappelant que le peuple est le seul titulaire de la souveraineté du fait que sa volonté fait la loi », la Jds demande au président de la République de « respecter sa parole » et de « soumettre son projet de réduire son mandat au référendum avec effet rétroactif ». Sinon, la Jeunesse pour la démocratie et le socialisme compte faire appel à l’arbitrage de la rue. « Le peuple occupera les rues de toutes les villes, comme ce fut le cas lors des événements du 23 juin 2011, pour imposer sa volonté. Macky Sall doit choisir entre le référendum ou la rue », prévient-elle.