Comme pour les trains, un maquis peut en cacher un autre. Si, comme nous avons eu à l’écrire et, à le dire urbi et orbi, le mandat de sept ans de Macky c’est la Lapalissade. Mais une question s’impose : le mandat de cinq ans, c’est la demande de qui ? Du peuple sénégalais ? Certainement pas. Est-ce par mimétisme par rapport à la France qui est passée de sept à cinq ans ? Etait-ce pour rassurer les composantes de son attelage politique, par ailleurs ses anciens concurrents, pour leur donner un brin d’espoir ? En tant qu’ancien prétendant à la chose la plus convoitée dans ce pays pour arriver à le gouverner comme s’il s’agissait d’un trophée ou d’une sinécure.
Ce qui vient d’être dit est le signe évident de l’existence d’un deal qui a dû se passer dans l’opacité la plus totale sur le dos de l’électeur. Lui-même chair à canon de la classe politique.
Le côté duperie est de sous estimer le peuple sénégalais, même sur le plan sémantique, entre s’appliquer les cinq ans et les appliquer à la fonction. N’est-ce pas notre Président, naguère le mieux élu, qui a bien prononcé la sentence : « Je m’appliquerai les cinq ans » ? Ce n’est pas un jeu de mot entre les appliquer au mandat et se les appliquer.
Le peuple se sent-il dupé, floué, trompé ou arnaqué ? L’avenir nous le dira. Toutefois un deal peut en cacher un autre. Même si provisoirement ce qui va être dit relèvera de la pure imagination. Nous persisterons tant que sera maintenu le droit à l’imagination.
Déjà évoqué dans un article publié en 2012 sur internet dans l’éventualité d’un deal mackyavélique Karim-Macky avec un seul M comme point de jonction entre les deux. Même si, en la matière, ce mot doit être lu de droite à gauche. Les idées étaient, qu’en son temps, Macky avait donné pour argument que la convocation de Karim à l’Assemblée Nationale cachait une opération de blanchiment politique par rapport à la personne de Karim. Mais, aussi, sa déclaration solennelle où il disait qu’il n’excluait pas qu’un jour Karim fasse partie de son gouvernement. Alors qu’en ce moment les couteaux pour le dépecer via la CREI étaient déjà aiguisés. Troublant, n’est-ce pas ?
Dans ce scénario digne d’un duo Rocambole- Machiavel le Référendum ne serait qu’une messe de requiem pour le régime de Macky. Et annoncerait, peut-être, un jeu d’alternance de deux personnes au pouvoir, à la Poutine- Medvedev.
Ainsi sous la dictée de l’imagination, fertile certes, le Macky que nous connaissons pourra révèler le Macky que nous n’avons pas encore vu. Mais que nous pourrons voir démissionner après le Référendum, quels qu’en soient le résultat et le taux de participation. Car, comme le dit l’adage Wolof, « l’argument est toujours à la portée de celui qui déménage. Ainsi, mimer le Général De Gaulle permet de rentrer dans l’Histoire. Mais aussi ouvrir une nouvelle ère qui pourra se conjuguer comme suit : « Je régnerai, tu régneras ».
Dans la foulée de ces paragraphes de politique fiction collée à l’actualité Karim sort comme le grand gagnant après que Macky a accompli l’opération commando consistant à remplacer Wade par son ombre(Macky) et asphyxié politiquement l’opposition d’hier. Laquelle, par cette démission imaginaire, se retrouverait au Mbeubeuss de la politique sénégalaise. Dépourvue de toute crédibilité, politiquement frappée d’une mort clinique.
Karim règne, Macky reçoit, pour lot de consolation, le pétrole, le gaz, la banque…..En attendant de relayer au pouvoir son ami Karim.
Toutefois ce scénario peut évoluer vers un certain nombre de variables régentées par la lettre M. Comme Mimi, Mansour et, même, peut-être, Marème. A moins que ce ne soit la première lettre de l’alphabet, c’est-à -dire A comme Aliou.
Rappelons que la nouvelle potion magique pour s’éterniser au pouvoir, à la Poutine, a été, peut-être, concoctée chez les gaziers et pétroliers de Gazprom. La version tropicalisée est parfumée par du gaz et du pétrole qui se trouvent prés du delta du Fleuve Sénégal.
AHMED KHALIFA NIASSE
Ce qui vient d’être dit est le signe évident de l’existence d’un deal qui a dû se passer dans l’opacité la plus totale sur le dos de l’électeur. Lui-même chair à canon de la classe politique.
Le côté duperie est de sous estimer le peuple sénégalais, même sur le plan sémantique, entre s’appliquer les cinq ans et les appliquer à la fonction. N’est-ce pas notre Président, naguère le mieux élu, qui a bien prononcé la sentence : « Je m’appliquerai les cinq ans » ? Ce n’est pas un jeu de mot entre les appliquer au mandat et se les appliquer.
Le peuple se sent-il dupé, floué, trompé ou arnaqué ? L’avenir nous le dira. Toutefois un deal peut en cacher un autre. Même si provisoirement ce qui va être dit relèvera de la pure imagination. Nous persisterons tant que sera maintenu le droit à l’imagination.
Déjà évoqué dans un article publié en 2012 sur internet dans l’éventualité d’un deal mackyavélique Karim-Macky avec un seul M comme point de jonction entre les deux. Même si, en la matière, ce mot doit être lu de droite à gauche. Les idées étaient, qu’en son temps, Macky avait donné pour argument que la convocation de Karim à l’Assemblée Nationale cachait une opération de blanchiment politique par rapport à la personne de Karim. Mais, aussi, sa déclaration solennelle où il disait qu’il n’excluait pas qu’un jour Karim fasse partie de son gouvernement. Alors qu’en ce moment les couteaux pour le dépecer via la CREI étaient déjà aiguisés. Troublant, n’est-ce pas ?
Dans ce scénario digne d’un duo Rocambole- Machiavel le Référendum ne serait qu’une messe de requiem pour le régime de Macky. Et annoncerait, peut-être, un jeu d’alternance de deux personnes au pouvoir, à la Poutine- Medvedev.
Ainsi sous la dictée de l’imagination, fertile certes, le Macky que nous connaissons pourra révèler le Macky que nous n’avons pas encore vu. Mais que nous pourrons voir démissionner après le Référendum, quels qu’en soient le résultat et le taux de participation. Car, comme le dit l’adage Wolof, « l’argument est toujours à la portée de celui qui déménage. Ainsi, mimer le Général De Gaulle permet de rentrer dans l’Histoire. Mais aussi ouvrir une nouvelle ère qui pourra se conjuguer comme suit : « Je régnerai, tu régneras ».
Dans la foulée de ces paragraphes de politique fiction collée à l’actualité Karim sort comme le grand gagnant après que Macky a accompli l’opération commando consistant à remplacer Wade par son ombre(Macky) et asphyxié politiquement l’opposition d’hier. Laquelle, par cette démission imaginaire, se retrouverait au Mbeubeuss de la politique sénégalaise. Dépourvue de toute crédibilité, politiquement frappée d’une mort clinique.
Karim règne, Macky reçoit, pour lot de consolation, le pétrole, le gaz, la banque…..En attendant de relayer au pouvoir son ami Karim.
Toutefois ce scénario peut évoluer vers un certain nombre de variables régentées par la lettre M. Comme Mimi, Mansour et, même, peut-être, Marème. A moins que ce ne soit la première lettre de l’alphabet, c’est-à -dire A comme Aliou.
Rappelons que la nouvelle potion magique pour s’éterniser au pouvoir, à la Poutine, a été, peut-être, concoctée chez les gaziers et pétroliers de Gazprom. La version tropicalisée est parfumée par du gaz et du pétrole qui se trouvent prés du delta du Fleuve Sénégal.
AHMED KHALIFA NIASSE