Le président du Conseil des éditeurs et diffuseurs de presse du Sénégal (Cdeps), Mamadou Ibra Kane rappelle que les éditeurs avaient donné leur accord à l’ancien directeur des TDS, pourur un montant de 3 millions FCfa. Alors, dit-il, la mesure doit entrer en vigueur début mars. Mais, il souhaite un report de sa mise en application.
Ainsi, Mamadou Ibra Kane propose un paiement mensuel de 1 million à partir de maintenant. Et, à la fin de chaque année, les éditeurs feront individuellement, un rajout de 500 mille francs sur une durée de 5 ans. Ces sommes cumulées feront à l’aboutissement, 3 millions de FCfa pour atteindre au bout de 5 ans, le montant réclamé par l'Etat. Pour l'entrée en vigueur, il propose 2024, après les élections présidentielles de février.
Sous ce registre, Ousseynou Dieng a démontré aux éditeurs et diffuseurs de presse, que si les 3 millions ne sont pas payés, TDS, peinant à supporter ses charges, risque de fermer. D’après lui, de ce basculement de l'analogique au numérique, les entreprises de presse ont réalisé des économies d'échelle par rapport à leurs charges. Suivant cette logique, le représentant du Cnra, Issa Sall a considéré que la proposition du président du Cdeps n'est pas réaliste.
Mais Maïmouna Ndour Faye, patronne de la 7Tv, a pris le contrepied de ce dernier, tout en n'étant d'accord ni sur la somme de 3 millions ni sur l'entrée en vigueur de cette mesure à la date du 1er mars 2023.
Néanmoins, la Directrice générale de TDS-SN, Nafi Diouf, faisant la présentation de la montée sur la Tnt, a montré qu’il est impossible de payer moins de 3 millions de FCfa, qui reste un montant plafond. Evoquant le code de la presse, elle a rappelé que le paiement de cette redevance est obligatoire. Le non respect des échéances de paiement, renseigne-t-elle, pourrait entraîner la coupure du signal aux récalcitrants. Et le Directeur Technique TDS révèle que la fréquence actuelle sur laquelle la majorité des télévisions diffuse, n'était pas celle-là prévue au préalable.
Ainsi, Mamadou Ibra Kane propose un paiement mensuel de 1 million à partir de maintenant. Et, à la fin de chaque année, les éditeurs feront individuellement, un rajout de 500 mille francs sur une durée de 5 ans. Ces sommes cumulées feront à l’aboutissement, 3 millions de FCfa pour atteindre au bout de 5 ans, le montant réclamé par l'Etat. Pour l'entrée en vigueur, il propose 2024, après les élections présidentielles de février.
Sous ce registre, Ousseynou Dieng a démontré aux éditeurs et diffuseurs de presse, que si les 3 millions ne sont pas payés, TDS, peinant à supporter ses charges, risque de fermer. D’après lui, de ce basculement de l'analogique au numérique, les entreprises de presse ont réalisé des économies d'échelle par rapport à leurs charges. Suivant cette logique, le représentant du Cnra, Issa Sall a considéré que la proposition du président du Cdeps n'est pas réaliste.
Mais Maïmouna Ndour Faye, patronne de la 7Tv, a pris le contrepied de ce dernier, tout en n'étant d'accord ni sur la somme de 3 millions ni sur l'entrée en vigueur de cette mesure à la date du 1er mars 2023.
Néanmoins, la Directrice générale de TDS-SN, Nafi Diouf, faisant la présentation de la montée sur la Tnt, a montré qu’il est impossible de payer moins de 3 millions de FCfa, qui reste un montant plafond. Evoquant le code de la presse, elle a rappelé que le paiement de cette redevance est obligatoire. Le non respect des échéances de paiement, renseigne-t-elle, pourrait entraîner la coupure du signal aux récalcitrants. Et le Directeur Technique TDS révèle que la fréquence actuelle sur laquelle la majorité des télévisions diffuse, n'était pas celle-là prévue au préalable.