Dans une de ses récentes éditions, « Le Témoin » quotidien avait révélé que la région de Kaolack était en passe d’être décimée par le paludisme !
La preuve, écrivions-nous, par toutes les structures sanitaires comme l’hôpital régional ElHadj Ibrahima Niass, l’Infirmerie du camp militaire, le poste de santé de Sara Ndiougary, de Boustane et autres, submergés de cas palustres. Faute de lits, rappelons-le, des patients gravement atteints sont hospitalisés à …même le sol.
Le médecin-chef de la région de Kaolack interpellé par notre confrère « Dakaractu », a confirmé l’alerte donnée par « Le Témoin ». Mieux, le médecin-chef est allé plus loin en révélant que sa région médicale a enregistré 17.000 cas de paludisme à la fin du troisième trimestre de 2022. Aux yeux de notre confrère « Dakaractu », ces chiffres font froid dans le dos, alors qu’en 2021, Kaolack avait eu juste 1.845 cas en cette même période.
Donc le nombre cas de palu est passé de 1.845 à 17.000 en une seule année. « Depuis une semaine, pratiquement tous les membres de ma famille sont hospitalisés, les uns après les autres, au poste de santé de Sara Ndiougary. J’ai dépensé entre 30.000 et 40.000 francs par personne, pour une perfusion antipaludique communément appelée à Kaolack « Cocktail ou Diamante ».
« Dans certains cas graves, la perfusion reste et demeure le seul traitement de salut », avait déploré dans nos colonnes, le vieux M. A. Diop, commerçant domicilié au quartier Boustane.
Le Témoin
La preuve, écrivions-nous, par toutes les structures sanitaires comme l’hôpital régional ElHadj Ibrahima Niass, l’Infirmerie du camp militaire, le poste de santé de Sara Ndiougary, de Boustane et autres, submergés de cas palustres. Faute de lits, rappelons-le, des patients gravement atteints sont hospitalisés à …même le sol.
Le médecin-chef de la région de Kaolack interpellé par notre confrère « Dakaractu », a confirmé l’alerte donnée par « Le Témoin ». Mieux, le médecin-chef est allé plus loin en révélant que sa région médicale a enregistré 17.000 cas de paludisme à la fin du troisième trimestre de 2022. Aux yeux de notre confrère « Dakaractu », ces chiffres font froid dans le dos, alors qu’en 2021, Kaolack avait eu juste 1.845 cas en cette même période.
Donc le nombre cas de palu est passé de 1.845 à 17.000 en une seule année. « Depuis une semaine, pratiquement tous les membres de ma famille sont hospitalisés, les uns après les autres, au poste de santé de Sara Ndiougary. J’ai dépensé entre 30.000 et 40.000 francs par personne, pour une perfusion antipaludique communément appelée à Kaolack « Cocktail ou Diamante ».
« Dans certains cas graves, la perfusion reste et demeure le seul traitement de salut », avait déploré dans nos colonnes, le vieux M. A. Diop, commerçant domicilié au quartier Boustane.
Le Témoin