Depuis le lancement de « l’opération ratissage » par l’Armée, des accrochages violents les opposent avec des groupes rebelles dont certains ont élus domicile dans la forêt de Bayottes où 14 exploitations forestiers ont été rués et 7 autres blessés. Des tirs sporadiques, des détonations de mortiers et des rafales de mitrailleuses se font encore entendre dans la ville de Ziguinchor et ses quartiers périphériques, informe le journal « Le Témoin ».
Cependant, dans un communiqué rendu public avant-hier, la Dirpa annonce des accrochages entre les bandes armée entre les localités de Babadinka et Guidel et la mort d’un assaillant. Le communiqué indique que "des traces relevées sur le sol", laissent supposer un bilan plus important. Des sources officieuses citées par le journal, révèlent que quand les rebelles subissent de lourdes pertes, plus importantes que d'habitude, dans leur fuite, ils emportent avec eux leurs morts.
Les mêmes sources signalent que sur les lieux des accrochages, plusieurs paires de chaussures ainsi que des armes de guerre ont été ramassés par l’armée.
Par ailleurs, un détachement de l’armée composé de parachutiste et de commandos a ratissé hier, les villages de Santiaba-Majack, Mason Frontaliere, Bougnaloum et Babonda. Et durant toute leur progression jusqu’à la frontière sénégalo-bissau guinéenne, ils n’ont rencontré aucune obstacle. Ce qui laisse croire, fait remarquer le journal, que la Basse Casamance est totalement sous contrôle des forces de défense et de sécurité malgré quelques coupeurs de routes qui se signalent de manière isolée.
Cependant, dans un communiqué rendu public avant-hier, la Dirpa annonce des accrochages entre les bandes armée entre les localités de Babadinka et Guidel et la mort d’un assaillant. Le communiqué indique que "des traces relevées sur le sol", laissent supposer un bilan plus important. Des sources officieuses citées par le journal, révèlent que quand les rebelles subissent de lourdes pertes, plus importantes que d'habitude, dans leur fuite, ils emportent avec eux leurs morts.
Les mêmes sources signalent que sur les lieux des accrochages, plusieurs paires de chaussures ainsi que des armes de guerre ont été ramassés par l’armée.
Par ailleurs, un détachement de l’armée composé de parachutiste et de commandos a ratissé hier, les villages de Santiaba-Majack, Mason Frontaliere, Bougnaloum et Babonda. Et durant toute leur progression jusqu’à la frontière sénégalo-bissau guinéenne, ils n’ont rencontré aucune obstacle. Ce qui laisse croire, fait remarquer le journal, que la Basse Casamance est totalement sous contrôle des forces de défense et de sécurité malgré quelques coupeurs de routes qui se signalent de manière isolée.