Une foule immense acquise à la cause du maire sortant, Pape Ndiamé Dieng, candidat à sa propre succession, avait fait le déplacement dès les premières heures de l’après-midi.
C’est au moment où le candidat de Benno Bokk Yakaar (Bby) faisait son allocution que les policiers ont fait irruption dans l’enceinte de la manifestation pour interrompre le rassemblement, faute d’autorisation. Pape Ndiamé Dieng reconnaît son erreur, mais se dit satisfait.
L’actuel maire de Guinaw rails Nord n’a pas opposé de résistance. Mieux encore, il reconnaît avoir commis une grosse erreur, car n’ayant pas une autorisation des autorités administratives pour organiser le rassemblement.
«Le commissaire, par le canal du commandant, m’a appelé pour me dire qu’ils vont arrêter le meeting. Car nous n’avons pas d'autorisation d’organiser ce rassemblement. Ce que nous avons compris et accepté. En tant que premier magistrat de la commune, nous avons l’obligation de donner le bon exemple», souligne M. Dieng.
À la question de savoir s’il n’y a pas de mains derrière qui sabotent, il coupe court : «Ils ne peuvent rien contre nous. Notre mobilisation en est une parfaite illustration. On n’arrête pas la mer avec ses bras».
C’est au moment où le candidat de Benno Bokk Yakaar (Bby) faisait son allocution que les policiers ont fait irruption dans l’enceinte de la manifestation pour interrompre le rassemblement, faute d’autorisation. Pape Ndiamé Dieng reconnaît son erreur, mais se dit satisfait.
L’actuel maire de Guinaw rails Nord n’a pas opposé de résistance. Mieux encore, il reconnaît avoir commis une grosse erreur, car n’ayant pas une autorisation des autorités administratives pour organiser le rassemblement.
«Le commissaire, par le canal du commandant, m’a appelé pour me dire qu’ils vont arrêter le meeting. Car nous n’avons pas d'autorisation d’organiser ce rassemblement. Ce que nous avons compris et accepté. En tant que premier magistrat de la commune, nous avons l’obligation de donner le bon exemple», souligne M. Dieng.
À la question de savoir s’il n’y a pas de mains derrière qui sabotent, il coupe court : «Ils ne peuvent rien contre nous. Notre mobilisation en est une parfaite illustration. On n’arrête pas la mer avec ses bras».