C’est un tableau sombre que l'Union nationale des pêcheurs artisanaux du Sénégal (Unapas) a présenté lundi à l’occasion d’une rencontre de ses instances à Saint-Louis. L’Union s’est planchée sur la raréfaction des ressources halieutiques qui plongent les différents acteurs dans la désuétude, faisant état d’une « crise pernicieuse ».
Elle a invité l’état à plus de surveillance contre un nouveau système de pillage de la mer mis en branle. « Le Sénégal n’a pas signé un protocole de pêche avec la Chine. Mais les Chinois passent par des compatriotes pour puiser la ressource », s’offusque Macoumba Dièye, le président de cette organisation. « Ils font usage de prête-noms », affirme le secrétaire général Abdoulaye Ndiaye qui insiste sur l’urgence de faire un audit.
D'après Ndarinfo, l’UNAPAS réclame l’arrêt de la pêche des petits poissons comme le "Yaboye" par les navires étrangers pour sauver les acteurs artisanaux. Elle réclame également la généralisation du système de localisation en vue de renforcer la sécurité en mer.
Elle a invité l’état à plus de surveillance contre un nouveau système de pillage de la mer mis en branle. « Le Sénégal n’a pas signé un protocole de pêche avec la Chine. Mais les Chinois passent par des compatriotes pour puiser la ressource », s’offusque Macoumba Dièye, le président de cette organisation. « Ils font usage de prête-noms », affirme le secrétaire général Abdoulaye Ndiaye qui insiste sur l’urgence de faire un audit.
D'après Ndarinfo, l’UNAPAS réclame l’arrêt de la pêche des petits poissons comme le "Yaboye" par les navires étrangers pour sauver les acteurs artisanaux. Elle réclame également la généralisation du système de localisation en vue de renforcer la sécurité en mer.