Les faits se sont passés le 22 mars dernier dans la matinée. Ce jour-là, un passant a été attiré par les pleures d’une fille d’environ 7 enfants, refusant de suivre une dame qui avait un accoutrement bizarre. Cette dernière prétextait que la fille est son enfant et qu’elle tentait de faire l’école buissonnière. Ce que nie l’enfant. Elle soutient que la femme n’était pas sa mère mais une parfaite inconnue qui voulait l’emmener de force.
La fillette, élève à l’école Clémenceau 2 n’a pas eu cours et s’apprêtait à rentrer chez elle. Elle explique avoir été interpellée par la dame qui lui a offert 100 FCFA pour qu’elle la suive. Intrigué, le passant alerte la police qui interpelle la dame, avant de la conduire au Commissariat de Rebeuss. Elle sera identifiée sous le nom de Idiatou Diallo et non Aïssatou contrairement à ce qui avait été écrit dans la presse.
Plus tard, la Sûreté urbaine hérite de l’affaire. Ses proches qui sont venus à son chevet, la présentent comme une personne qui ne jouirait pas de toutes ses facultés mentales. Des allégations confirmées par L. G. Boissy, le médecin qui la suivait à l’hôpital psychiatrique de Thiaroye.
Le procureur de la République qui ne semble pas convaincu, a décidé de la maintenir en détention avant de saisir un juge d’instruction pour l’ouverture d’une information judiciaire.
La fillette, élève à l’école Clémenceau 2 n’a pas eu cours et s’apprêtait à rentrer chez elle. Elle explique avoir été interpellée par la dame qui lui a offert 100 FCFA pour qu’elle la suive. Intrigué, le passant alerte la police qui interpelle la dame, avant de la conduire au Commissariat de Rebeuss. Elle sera identifiée sous le nom de Idiatou Diallo et non Aïssatou contrairement à ce qui avait été écrit dans la presse.
Plus tard, la Sûreté urbaine hérite de l’affaire. Ses proches qui sont venus à son chevet, la présentent comme une personne qui ne jouirait pas de toutes ses facultés mentales. Des allégations confirmées par L. G. Boissy, le médecin qui la suivait à l’hôpital psychiatrique de Thiaroye.
Le procureur de la République qui ne semble pas convaincu, a décidé de la maintenir en détention avant de saisir un juge d’instruction pour l’ouverture d’une information judiciaire.