Abass Fawaz, ce Libanais vivant au Sénégal, où il a investi dans la restauration, entre autres, est plus que jamais dans le collimateur du Trésor américain. Dans un rapport en date du 15 avril 2016, le Trésor américain persiste et signe en affirmant qu’il est un « ambassadeur » du Hezbollah qui mène ses activités depuis notre pays. Mieux, les Américains ont reconduit les sanctions financières le visant, dont le gel de tous ses avoirs identifiés aux Etats-Unis.
D’autres ressortissants libanais établis en Afrique figurent dans le rapport du Trésor américain qui les considère tous comme des piliers importants du système de financement et d’expansion mis en place par le Hezbollah. Pourtant, Abass Fawaz, qui se retrouve encore coincé par les Américains, avait formellement nié les faits la première fois que la presse l’avait indexé comme un soutien du Hezbollah.
Dans un entretien avec Libération, à l’époque, il affirmait : « J’ai appris comme vous cette odieuse rumeur. La sécurité du Sénégal, c’est notre priorité. Jamais, je ne ferai du mal à ce pays. Ma femme était si abattue qu’on a dû l’évacuer. Comment aurai-je pu investir tout mon argent dans un restaurant et chercher à faire du mal à quelqu’un dans ce pays ? Je suis moi-même Sénégalais, de même que mes enfants qui sont nés ici. Ce pays est mon pays et même quand je vais au Liban, c’est pour quinze jours. Mon frère m’a appelé pour me demander de quitter le Sénégal, je lui ai dit non car je suis dans mon pays, je travaille avec des Sénégalais qui comptent sur moi pour vivre ».
Sur les accusations selon lesquelles il serait en train d’installer une cellule du Hezbollah au Sénégal, Fawaz jurait : « C’est faux et archi faux. Demandez à ceux qui me connaissent : si quelqu’un vient avec l’intention de faire du mal à notre pays, le Sénégal, qu’il soit même mon fils, il me trouvera sur son chemin. Le Hezbollah nous a défendu contre Israël et c’est normal que les gens l’aiment ».
« Je suis sûr et certain qu’il y a des Libanais derrière ces fausses informations. Le Sénégal ne doit pas accepter qu’on lui transmette de fausses informations. Nous prions pour notre pays, le Sénégal. C’est notre pays. Nous avons eu la chance d’avoir Serigne Saliou qui m’appelait : « Mon fils ! ». J’ai des photos avec lui dans sa chambre et nous mangions dans le même plat. Tout comme El Hadji Bara dont je connais presque tous les fils. Nous ne devons pas accepter d’être déstabilisés », disait-il.
D’autres ressortissants libanais établis en Afrique figurent dans le rapport du Trésor américain qui les considère tous comme des piliers importants du système de financement et d’expansion mis en place par le Hezbollah. Pourtant, Abass Fawaz, qui se retrouve encore coincé par les Américains, avait formellement nié les faits la première fois que la presse l’avait indexé comme un soutien du Hezbollah.
Dans un entretien avec Libération, à l’époque, il affirmait : « J’ai appris comme vous cette odieuse rumeur. La sécurité du Sénégal, c’est notre priorité. Jamais, je ne ferai du mal à ce pays. Ma femme était si abattue qu’on a dû l’évacuer. Comment aurai-je pu investir tout mon argent dans un restaurant et chercher à faire du mal à quelqu’un dans ce pays ? Je suis moi-même Sénégalais, de même que mes enfants qui sont nés ici. Ce pays est mon pays et même quand je vais au Liban, c’est pour quinze jours. Mon frère m’a appelé pour me demander de quitter le Sénégal, je lui ai dit non car je suis dans mon pays, je travaille avec des Sénégalais qui comptent sur moi pour vivre ».
Sur les accusations selon lesquelles il serait en train d’installer une cellule du Hezbollah au Sénégal, Fawaz jurait : « C’est faux et archi faux. Demandez à ceux qui me connaissent : si quelqu’un vient avec l’intention de faire du mal à notre pays, le Sénégal, qu’il soit même mon fils, il me trouvera sur son chemin. Le Hezbollah nous a défendu contre Israël et c’est normal que les gens l’aiment ».
« Je suis sûr et certain qu’il y a des Libanais derrière ces fausses informations. Le Sénégal ne doit pas accepter qu’on lui transmette de fausses informations. Nous prions pour notre pays, le Sénégal. C’est notre pays. Nous avons eu la chance d’avoir Serigne Saliou qui m’appelait : « Mon fils ! ». J’ai des photos avec lui dans sa chambre et nous mangions dans le même plat. Tout comme El Hadji Bara dont je connais presque tous les fils. Nous ne devons pas accepter d’être déstabilisés », disait-il.