Selon le rapport d'exécution budgétaire des établissements publics, des agences et des structures administratives au 31 mars 2015, repris par Libération, établie par la Direction du secteur parapublic, le budget d’Ageroute, voté pour un montant de 321 374 786 727 FCfa, est mobilisé à hauteur de 65 347 404 430 FCfa au terme du premier trimestre, soit un taux de 20,33%. Par contre, le rythme d’absorption des crédits reste encore faible et ressort pour un montant de 8 502 040 214 FCfa représentant 2,65% du budget.
La mission essentiellement capitalistique, combinée avec la diversité des procédures, pourrait expliquer ce niveau de consommation des crédits. Toutefois, selon la Direction du Secteur parapublic, « la persistance de ces retards, depuis quelques années, rend nécessaire une évaluation de l’efficacité des procédures internes de l’Agence dans le cadre notamment de la revue à mi-parcours de l’exécution du contrat de performance ». La dette de l’Agence se situe à 12 627 483 455 FCfa, soit des dettes fournisseurs de 12 568 798 326 FCfa, une ardoise fiscale de 51 323 408 FCfa et des dettes sociales de 7 361 721 FCfa.
Quant au Fonds d'entretien routier autonome (Fera), la dette est arrêtée à 1 678 368 734 FCfa au terme du premier trimestre 2015. En effet, dans le cadre de la réalisation de sa mission pour la sauvegarde du patrimoine routier, le Fera signe des conventions avec les structures éligibles à son financement. Ces transferts au profit de ces structures ou paiements pour leurs comptes constituent la majeure partie des crédits ouverts pour le Fera. Ainsi, le budget de l’exercice 2015 s’équilibre en ressources et en charges pour un montant de 58 397 992 181 FCfa dont 25 000 000 000 FCfa proviennent de transferts budgétaires de l’Etat.
Les crédits de fonctionnement sont consommés à hauteur de 20,4%, pour un montant de 11 791 934 095 FCfa alors que le rythme de l’exécution du budget d’investissement reste satisfaisant à 204 117 871 FCfa, représentant 35,08% des prévisions. Ainsi, le niveau d’exécution du budget en charge se situe globalement à 20,54%, soit 11 996 051 966 FCfa. Les réalisations en ressources se situent à 13 341 569 978 FCfa, soit 22,84% des prévisions.
La mission essentiellement capitalistique, combinée avec la diversité des procédures, pourrait expliquer ce niveau de consommation des crédits. Toutefois, selon la Direction du Secteur parapublic, « la persistance de ces retards, depuis quelques années, rend nécessaire une évaluation de l’efficacité des procédures internes de l’Agence dans le cadre notamment de la revue à mi-parcours de l’exécution du contrat de performance ». La dette de l’Agence se situe à 12 627 483 455 FCfa, soit des dettes fournisseurs de 12 568 798 326 FCfa, une ardoise fiscale de 51 323 408 FCfa et des dettes sociales de 7 361 721 FCfa.
Quant au Fonds d'entretien routier autonome (Fera), la dette est arrêtée à 1 678 368 734 FCfa au terme du premier trimestre 2015. En effet, dans le cadre de la réalisation de sa mission pour la sauvegarde du patrimoine routier, le Fera signe des conventions avec les structures éligibles à son financement. Ces transferts au profit de ces structures ou paiements pour leurs comptes constituent la majeure partie des crédits ouverts pour le Fera. Ainsi, le budget de l’exercice 2015 s’équilibre en ressources et en charges pour un montant de 58 397 992 181 FCfa dont 25 000 000 000 FCfa proviennent de transferts budgétaires de l’Etat.
Les crédits de fonctionnement sont consommés à hauteur de 20,4%, pour un montant de 11 791 934 095 FCfa alors que le rythme de l’exécution du budget d’investissement reste satisfaisant à 204 117 871 FCfa, représentant 35,08% des prévisions. Ainsi, le niveau d’exécution du budget en charge se situe globalement à 20,54%, soit 11 996 051 966 FCfa. Les réalisations en ressources se situent à 13 341 569 978 FCfa, soit 22,84% des prévisions.