Cheikh Bara Ndiaye considère que les motivations d’une telle campagne de dénigrement, est l’expression d’une concurrence déloyale orchestrée par des concurrents tapis dans l’ombre, que les nombreuses réalisations et actions de Carrefour Médical n’enchantent guère. Car ce dernier est une menace pour leurs propres intérêts. Ces réalisations lui avaient valu les félicitations de Monsieur le Président Abdoulaye Wade, qui saluait son rôle dans la rationalisation de la dépense en hémodialyse, à travers l’installation de centrales de production d’oxygène sur le site des hôpitaux, qui auparavant, n'en disposaient pas.
D’après le journal "Point Actu", ces installations ont permis à l’ETAT de faire une économie budgétaire cumulé à dix milliards et une autonomisation réussie dans la production d’oxygène médical par et pour les hôpitaux. Il s’y ajoute que Carrefour Médical avait aussi réussi une diminution du prix du kit de dialyse, qui est passé en 2011 de 65 000 à 39 000 francs FCfa et aujourd’hui, à 35 000 FCfa, ce qui a permis au Président Macky Sall de rendre la dialyse gratuite.
Par ailleurs, la mise à disposition des générateurs de dialyse dans les différents hôpitaux publics, a permis l’accès et la décentralisation de la dialyse sur toute l’étendu du territoire. Ces réalisations et actions avaient un goût amer du côté de la concurrence, qui se voyait dorénavant privé d’une manne financière au profit de la nation. C’est ce qui explique l’acharnement caractérisé entre autres, les nombreuses actions judiciaires contre cette entreprise, pour juste l’anéantir et le freiner dans sa vision de révolutionner le secteur médical, avec des réalisations innovantes et adaptées au monde actuel.
Fort de ce constat, le chroniqueur Cheikh Bara Ndiaye, chef religieux par ailleurs, déclare que Carrefour Médical est une entreprise citoyenne et patriotique qui est à encourager et à protéger, du fait de ses importantes réalisations dans le domaine de l’oxygène médical et de la dialyse. Le véritable combat que tout le monde doit mener, est que l’Etat prenne en charge tous les malades d’insuffisance rénale.
A ce jour, les machines disponibles, au nombre de 700, ne traitent que 1000 patients, alors qu’elles peuvent aller jusqu’à 3 600, soit un gap de 2 600, faute de personnel. Ainsi, ces patients sont exposés à la mort, sous le regard complice de l’Etat.
D’après le journal "Point Actu", ces installations ont permis à l’ETAT de faire une économie budgétaire cumulé à dix milliards et une autonomisation réussie dans la production d’oxygène médical par et pour les hôpitaux. Il s’y ajoute que Carrefour Médical avait aussi réussi une diminution du prix du kit de dialyse, qui est passé en 2011 de 65 000 à 39 000 francs FCfa et aujourd’hui, à 35 000 FCfa, ce qui a permis au Président Macky Sall de rendre la dialyse gratuite.
Par ailleurs, la mise à disposition des générateurs de dialyse dans les différents hôpitaux publics, a permis l’accès et la décentralisation de la dialyse sur toute l’étendu du territoire. Ces réalisations et actions avaient un goût amer du côté de la concurrence, qui se voyait dorénavant privé d’une manne financière au profit de la nation. C’est ce qui explique l’acharnement caractérisé entre autres, les nombreuses actions judiciaires contre cette entreprise, pour juste l’anéantir et le freiner dans sa vision de révolutionner le secteur médical, avec des réalisations innovantes et adaptées au monde actuel.
Fort de ce constat, le chroniqueur Cheikh Bara Ndiaye, chef religieux par ailleurs, déclare que Carrefour Médical est une entreprise citoyenne et patriotique qui est à encourager et à protéger, du fait de ses importantes réalisations dans le domaine de l’oxygène médical et de la dialyse. Le véritable combat que tout le monde doit mener, est que l’Etat prenne en charge tous les malades d’insuffisance rénale.
A ce jour, les machines disponibles, au nombre de 700, ne traitent que 1000 patients, alors qu’elles peuvent aller jusqu’à 3 600, soit un gap de 2 600, faute de personnel. Ainsi, ces patients sont exposés à la mort, sous le regard complice de l’Etat.