« Etonnement » et « désolation » sont les sentiments les mieux partagés à l’Agence Nationale d’Insertion et de Développement Agricole (ANIDA) après avoir été citée parmi les structures qui ont fait preuve de mal gouvernance dans leur gestion. En effet, rappelant que l’Inspection Générale d’Etat (IGE) a audité l’Agence durant 16 mois, son Comité de direction précise que le rapport des services de François Collin n’a nullement reproché à l’ANIDA des malversations financières, des manquements dans les procédures de passation des marchés, des irrégularités dans les paiements des entreprises ou encore des cas de détournement et/ou d’abus dans l’utilisation des ressources financières.
Raisons pour lesquelles, ladite agence trouve « inacceptable » qu’on puisse lui prêter les caractérisations de « mal gouvernance » ou de « malversation » alors que les résultats des investigations de l’IGE se résument à des recommandations pour améliorer l’organisation et l’efficacité de l’Agence. D’ailleurs, dans un communiqué parvenu à la rédaction de Dakarmatin, l’ANIDA rappelle qu’il est mentionné dans le rapport de l’IGE que « la plupart des dysfonctionnements constatés ne sont pas imputables à l’Agence ». Il s’agit plutôt, selon elle, de la mise en place tardive de l’organe du Conseil de Surveillance ou du décret portant création de l’ANIDA. Loin de s’en arrêter là , l’ANIDA défie quiconque de lui apporter la preuve d’un seul centime de ses ressources budgétaires sujet à une malversation ou à un détournement et qui soit mentionné dans le rapport de l’IGE. Mieux, se réjouit l’Agence, les conclusions émises dans le rapport qui malheureusement ne sont pas portées au public, sont en faveur de satisfactions à l’endroit du personnel et de son directeur général. S’inscrivant en faux contre ce qui a été rapporté dans la presse du samedi 20 et du lundi 23 juin, l’ANIDA de préciser que le rapport indique clairement que les auditeurs, se fondant sur l’importance des réalisations, ont conclu à son renforcement et à son reclassement dans la catégorie supérieure à la laquelle elle se trouve actuellement.
« Nous ne nous laisserons pas divertir dans notre idéal de recherche perpétuelle de solutions pour la transformation structurelle du monde rural », conclut le Comité de direction de l’ANIDA.
Raisons pour lesquelles, ladite agence trouve « inacceptable » qu’on puisse lui prêter les caractérisations de « mal gouvernance » ou de « malversation » alors que les résultats des investigations de l’IGE se résument à des recommandations pour améliorer l’organisation et l’efficacité de l’Agence. D’ailleurs, dans un communiqué parvenu à la rédaction de Dakarmatin, l’ANIDA rappelle qu’il est mentionné dans le rapport de l’IGE que « la plupart des dysfonctionnements constatés ne sont pas imputables à l’Agence ». Il s’agit plutôt, selon elle, de la mise en place tardive de l’organe du Conseil de Surveillance ou du décret portant création de l’ANIDA. Loin de s’en arrêter là , l’ANIDA défie quiconque de lui apporter la preuve d’un seul centime de ses ressources budgétaires sujet à une malversation ou à un détournement et qui soit mentionné dans le rapport de l’IGE. Mieux, se réjouit l’Agence, les conclusions émises dans le rapport qui malheureusement ne sont pas portées au public, sont en faveur de satisfactions à l’endroit du personnel et de son directeur général. S’inscrivant en faux contre ce qui a été rapporté dans la presse du samedi 20 et du lundi 23 juin, l’ANIDA de préciser que le rapport indique clairement que les auditeurs, se fondant sur l’importance des réalisations, ont conclu à son renforcement et à son reclassement dans la catégorie supérieure à la laquelle elle se trouve actuellement.
« Nous ne nous laisserons pas divertir dans notre idéal de recherche perpétuelle de solutions pour la transformation structurelle du monde rural », conclut le Comité de direction de l’ANIDA.