Le rapport 2013 de la Cour des Comptes a été remis par le Premier Président de la Cour des comptes au Président Macky Sall. Des manquements sur des entreprises publiques comme la Caisse de sécurité sociale (Css), le Programme de lutte contre la Tuberculose, l’autorité de régulation des postes et télécommunication (Artp) ; la Société des infrastructures et de réparation navale (Sirn), la Direction des bourses ont été notée dans ce rapport. Ces dernières font office de mauvaises élèves parmi les sociétés publiques contrôlées par les services de la Cour des Comptes. « Ces organes de contrôles publics participent à nos efforts communs pour améliorer nos performance en gestion des affaires publiques à travers un diagnostic sans complaisance de nos pratiques assorties des observations et recommandations idoines », a souligné le Président Macky Sall.
Hormis, le rapport des organismes sociaux, Mamadou Hady Sarr assure que "les rapports sur l’exécution des lois de finance pour les années financières 2011 et 2012 ainsi que les déclarations générales de conformité y afférentes sont l’objet des insertions de la première ». « La deuxième partie est relative aux observations les plus saillantes sur la gestion des collectivités locales et des administrations publiques », a indiqué le président de la Cour des comptes. Les contrôles effectués dans ces domaines ont porté sur les dépenses de personnel de onze communes, chefs-lieux de région ou de département, la gestion des recettes de la ville de Dakar, l’imprimerie nationale. Aussi, dit-il, au titre de contrôles de l’exécution des lois de finance, l’importance des restes à recouvrer, des écarts entre le montant des services votés et des mesures nouvelles retracés dans la loi de finances initiale publié au journal officiel et celui des crédits mis en place dans le projet de loi de règlement et le compte général de l’administration des finances.
Les hommes de M. Sarr ont aussi noté quelques manquements dans le fichier des boursiers des étudiants. « La présence dans le fichier des boursiers universitaires de personnes non répertoriées », note-t-il. A cela s'ajoute le cumul irrégulier de diverses allocations d’études par certains étudiants, une insuffisance du budget de l’Etat et une trop forte dépendance des financements extérieurs pour les programmes de santé. Mais, pour l’année 2013, la Cour des comptes a noté avec satisfaction, que les recommandations issues des contrôles de la Société africaine de raffinage (Sar), du Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp) et du Centre des œuvres universitaires ont été suivies de manièresatisfaisante.
Hormis, le rapport des organismes sociaux, Mamadou Hady Sarr assure que "les rapports sur l’exécution des lois de finance pour les années financières 2011 et 2012 ainsi que les déclarations générales de conformité y afférentes sont l’objet des insertions de la première ». « La deuxième partie est relative aux observations les plus saillantes sur la gestion des collectivités locales et des administrations publiques », a indiqué le président de la Cour des comptes. Les contrôles effectués dans ces domaines ont porté sur les dépenses de personnel de onze communes, chefs-lieux de région ou de département, la gestion des recettes de la ville de Dakar, l’imprimerie nationale. Aussi, dit-il, au titre de contrôles de l’exécution des lois de finance, l’importance des restes à recouvrer, des écarts entre le montant des services votés et des mesures nouvelles retracés dans la loi de finances initiale publié au journal officiel et celui des crédits mis en place dans le projet de loi de règlement et le compte général de l’administration des finances.
Les hommes de M. Sarr ont aussi noté quelques manquements dans le fichier des boursiers des étudiants. « La présence dans le fichier des boursiers universitaires de personnes non répertoriées », note-t-il. A cela s'ajoute le cumul irrégulier de diverses allocations d’études par certains étudiants, une insuffisance du budget de l’Etat et une trop forte dépendance des financements extérieurs pour les programmes de santé. Mais, pour l’année 2013, la Cour des comptes a noté avec satisfaction, que les recommandations issues des contrôles de la Société africaine de raffinage (Sar), du Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp) et du Centre des œuvres universitaires ont été suivies de manièresatisfaisante.
